Un jour ou un parsec, pris d'un emportement,
Dieu ne sut où donner de la tête, entre Bible
Et Coran ; ces récits lui souvenant l'abîme
De sang et de meurtre, et puis l'hallali coursant
L'humanité depuis la profusion des temps,
Venaient lui ranimer une méchante bile,
Et puis le tenailler d'une coulpe imbécile
Perforant son délice autrefois florissant.
Dieu connut le remords aux domaines étoilés :
Tout refonder, ma foi, serait-ce améliorer ?
Et triturant sa barbe, infuse de sagesse,
Il percevait les ombres entachant le tableau
Des lieux circonvoisins. Il tira le rideau,
Se mit "à la retraite", et nous montra ses fеssеs..
Climax69007, le Lundi 4 Mars 2013
C'est ma version du "Deus Absconditus" (en bon langage théologique, mâtiné de christianisme, "le dieu caché"). A la bonne vôtre !