La vie est remplie d'obstacle, Elle peut être simple comme dur, Nous y assistons à travers des murs, C'est un grand spectacle.
La vie est courte, Il faut donc en profiter, Elle est comme un yaourt, Que l'on fini par ne plus apprécier.
Nous somme des papillons éphémères, On ne pas lutter à cette "mère" Qui nous donne la chance d'exister,parmi toutes ces personnes, Il faut vivre plainement avant que ne départ ne sonne
Vie
Chère vie Je suis tanné de toi Mais te perdre je ne veux pas Tous ses malheurs je ne comprends pas pourquoi Et je ne parle pas que pour moi Tu peux être douce comme la soi Comme tu peux me mettre hors de moi Dis le moi Dis moi ce que tu crois Ce que tu penses de toi Je me demande si tu te vois Ne serais-ce que quelque fois...
melvin41
Membre pionnier
28 juillet 2009 à 06:44
Tout simplement superbe , merci bonne journée
melvin41
Membre pionnier
28 juillet 2009 à 07:13
La vie
La vie est une fleur qui s’épanouit lentement Un a un ouvre ses pétales, éclatante de beauté Puis doucement s’éteint et se fane. Les gouttes de rosée viennent caresser le bourgeon Recroquevillé tel un fœtus. Puis dans un cri s’arrache du ventre de la terre, Sa mère nourricière. Dans l’éclat du petit matin hésite, tremblante et s’ouvre, Réchauffée par la lumière et les premiers rayons du soleil. Bercée tendrement par la douceur du vent printanier Laissant couler les dernières larmes de pluie Sur sa robe encore froissée. Protégée par sa fragilité et sa beauté éphémère Comme l’enfant, petit être naïf et innocent Frêle, émerveillée, lentement se redresse et grandit Découvre la vie, s’émerveille et s’épanouit Puis rebelle, tête haute brave les forces et les tempêtes Adulte, trace son chemin, se résigne Accepte son destin Lentement regarde sa vie, S’accroche au passé Mais l’avenir défile droit devant Et paisible elle s’éteint Épargnée par sa fragile nature Des agressions qui auraient pu l’anéantir. La main innocente qui arrache la beauté de cette fleur Ou la haine qui l’écrase de sa botte Douloureusement se replie et se recroqueville Dans une pluie, verse ses larmes fécondes Nourrit la terre de sa source.
Auteur : Esteve Augustin
nikky13
Membre habitué
28 juillet 2009 à 07:15
Comme j'aime tes poèmes par le justesse des mots et de la vérité sur la Vie.
winipec
Membre élite
28 juillet 2009 à 09:56
Très beau
choubaka59
Membre pionnier
28 juillet 2009 à 12:52
Cueillette de l'âme de pactole
Le silence est comme une église Des bruits de couloir à mes oreilles Maison mon coeur se ermpli à merveille Des pépites d'or dans la vie Elle veulent voir la richesse en moi Souvent rient Mais en moi,elle croient...
melvin41
Membre pionnier
28 juillet 2009 à 14:12
Cueillette de l'âme de pactole
Le silence est comme une église Des bruits de couloir à mes oreilles Maison mon cœur se rempli à merveille Des pépites d'or dans la vie Elle veulent voir la richesse en moi Souvent rient Mais en moi,elle croient...
Merci Princesse tu excelle au firmament de la poésie
winipec
Membre élite
28 juillet 2009 à 14:45
Excellent
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