J'ai écrit cela en feuilletant des souvenirs,
il y a deux ou trois mois, Yzzug !
Et j'ai poussé à leur terme ultime des tendances
de l'amour entre Simon et moi, j'ai figé dans ces mots
désolés des moments de guérilla quotidienne,
répétée, des moments où j'ai négligé mon amour !
La tendresse n'empêche pas la cruauté,
et de s'en aviser plus tard, quand c'est irréparable,
et que l'on ne peut inverser le cours du temps,
et que l'on ne peut adoucir des instants d'oubli
de ce "nous" précieux, est aussi une honnêteté !