Bernard Pivot (page 4) - Littérature & poésie

En réponse au message de vinsang :

alors j attend que tu me le fasse !!! la couleur que tu veux sauf noir et blanc donc a tu a du boulot pour tes nuits

En réponse au message de vinsang :

Oui je tricote.

Tu dois bien te débrouiller avec ta petite aiguille.

En réponse au message de gill92 :

Tu dois bien te débrouiller avec ta petite aiguille.

son aiguille c est passe partout c est le roi du tricot maille jersey cela sera top

En réponse au message de sirceron :

Le type qui a donné la parole à Matzneff.

J'en ai pas forcément un bon souvenir...

Dès janvier 1964, entre une visite chez Montherlant et un déjeuner à la table de Pierre Boutang, Pivot apparaît dans le Journal de celui qui aimait à s'intituler L'Archange aux pieds fourchus

Dès 1972, Matzneff participe à l'émission Ouvrez les guillemets ; suivront six invitations dans Apostrophes, pour commencer en 1974 où il vient présenter son livre manifeste, Les Moins de seize ans.

Matzneff n'était pas le seul : René Schérer pour Emile регvегti (1974), Tony Duvert pour Paysage de Fantaisie (en 1973), Guy Hocquenghem à plusieurs reprises furent eux aussi les invités de Pivot dont le rôle dans la diffusion de la cause рéԁорhіlе par la télévision d’État ne saurait être minimisé.

Tous les signataires ou presque des pétitions pro-pédo de 1977-78 ont été, à un moment ou un autre, invités "chez" Pivot. Jusqu'à Jean-François Lemaire, autrefois très proche de Matzneff, tous deux accusés par la fille du premier de l'avoir violée alors qu'elle était encore à la maternelle. Pivot avait reçu Lemaire dans un "Spécial Napoléon" de 1987.

En réponse au message de vinsang :

Y a.eu une étude scientifique ou du moins statistique sur le sujet qui a permis d'aboutir à cette conclusion ?

Une publication ? Dans quelle revue?

En réponse au message de vinsang :

Encore une belle connerie.

Tout dépend de tes lectures. Passer son temps à lire le marquis de Sade ne rend pas plus ouvert, ou alors juste le fondement.

Le meme jour france tv annonce la fin des chiffres et des lettres...

En réponse au message de sirceron :

Encore une belle connerie.

Tout dépend de tes lectures. Passer son temps à lire le marquis de Sade ne rend pas plus ouvert, ou alors juste le fondement.

Pour une fois je suis plutôt d'accord avec toi. C'était un peu le sens de ma remarque humoristique. Le mec donne un avis personnel et balance ça comme étant une loi générale.

C'était peut être vrai il y a un siècle quand il n'y avait que la presse écrite comme média et les livres. Maintenant aec internet et tous les autres médias, il est possible de s'instruire sans être obligé de lire un livre.

En réponse au message de gill92 :

Pour une fois je suis plutôt d'accord avec toi. C'était un peu le sens de ma remarque humoristique. Le mec donne un avis personnel et balance ça comme étant une loi générale.

C'était peut être vrai il y a un siècle quand il n'y avait que la presse écrite comme média et les livres. Maintenant aec internet et tous les autres médias, il est possible de s'instruire sans être obligé de lire un livre.

Mais même pas. Ce qui ouvre l'esprit c'est de côtoyer un monde qui n'est pas le sien. On peut choisir le livre comme médias de prédilection pour le faire. Mais la vérité sociologique, c'est que le milieu littéraire français est depuis plusieurs siècles un ramassis de vieilles barbes bien grasses et boursouflées. Ce petit monde ne côtoie que ses semblables et cultive un mépris de caste propre aux oisifs à l'encontre des formes de vie laborieuses. Il y a bien sûr des exceptions remarquables, du moins en apparence, comme Victor Hugo.

Pour moi pour s'ouvrir l'esprit, il faut commencer par sortir de sa zone de confort et essayer de se mettre à la place de l'autre. C'est à mon avis un bon début. Le rat de bibliothèque reste un rat.