Toujours un gros noeud dans le ventre au départ, mais le sourire de la personne rencontrée suffit pour tout remettre en place.
Pour ma part c'est plutôt pareil qu'asiat. Faut un petit temps d'adaptation et au fil des minutes des échanges, des sourires, ça va mieux.
Mais faut avouer que c'était pire il y a une époque, j'étais victime parfois d'un mutisme déstabilisant.