Ah ! Je comprends ton ire, et par là-même ta crainte du pire.
Cependant restons optimistes, ne noircissons pas trop le tableau. La langue française est riche. Elle ne s'arrête pas à ces nouvelles entrées parfois discutables. Je suis personnellement plus gêné par le nombre de 140 caractères qui formate la pensée, et par un site qui semble dicter sa loi, que par l'apparition de ce mot qui viendra juste après tweed.
Pour le mot
mairesse, pas d'inquiétude à avoir, on le trouvait déjà en... en 1866, dans un certain dictionnaire