En réponse au message de textoo :
Malheureusement, je suis en partie d'accord avec toi, et j'aimais bien cette réplique de Coluche
"Dites moi ce dont vous avez besoin, je vous expliquerai comment vous en passer"
Il y a un monde possible sans être trop destructeur de son environnement mais il faut prendre le taureau par les cornes.
Cela passe par le fait de savoir autant "partager" que "consommer".
On sait que le principal danger pour la planète est la question démographique.
Hors, qu'est-ce qui fait qu'on fait moins de gosses
C'est l’élévation du niveau de vie.
Il faut donc pouvoir assurer les besoins vitaux des gens et lever le pied sur les епvіеs (en premiers des peuples nantis) qui, quand on y réfléchit un peu, sont la raison ргоfопԁе du maintien de milliards d'humains dans la misère.
L'écologie est donc avant tout une logique "spirituelle".
C'est l'esprit qui commande les manques et les епvіеs, contrairement aux besoins qui s'imposent d'eux-même.
Vivons selon nos besoins et pensons à nos епvіеs quand tout le monde couvrira ses besoins.
Si on a tant d'епvіеs, c'est parce qu'on sait, au fond de nous, qu'on a besoin de de vivre dans une harmonie qui est absente de notre société.
Nos епvіеs qui devraient marquer notre curiosité sont devenues le chewing-gum de notre frustration.
La possession fait exister alors que "je suis", c'est tout à fait différent de "j'ai".
"Être" calme la soif d'avoir par la suffisance à soi-même.
En attendant, l'епvіе est un mécanisme bloqué qui entretien les conditions de la pérennisation du problème.
Exister par l'епvіе est un сul de sac quand exister pour avoir quelque chose à donner à quelqu'un est le carrefour de la vie.
Il faudra donc sortir de l'impasse de l'епvіе et trouver le carrefour de la vraie vie avant que ça nous pète à la gueule…
Mais est-on assez sage pour cela