Je pense que Den a très bien compris ma pensée. Nous discutons assez et en cela, je respecte oh combien sa vision, car elle m'apparait moins brutale que la tienne. peut etre joue t'il plus avec les mots pour rendre la réalité plus belle....quoiqu'il en soit, faites de votre ressenti une valeur qui ne nuiera ni à Vous, ni à celui qui saura vous aimer.
Biz!
Oui, glucklich, Je crois que nous nous comprenons assez bien, ce qui ne requiert pas l’unisson, heureusement. Et tu sais que si je puis mieux le comprendre que beaucoup, d’où les mots que je pose ici, mon point de vue n’est pas celui de Jacques non plus, je n’ai pas son vécu, et je ne cherche pas la même chose. Ni ne trouve, et tout cela m’étonne un peu, d’ailleurs, mais tout dépend comment on fait passer la sauce... Ma seule grande ехрéгіепсе est celle des mots, je sais lire ceux des autres, et quant aux miens je m’en sers surtout pour pro-voquer, l’écho, la réflexion, et si je veille à ne blesser personne (les mots sont des armes), je n’édulcore pas pour que "ça passe", au contraire j’appointe quitte à m’y couper un peu. J’aimerais susciter plus de réponses de qualité comme la tienne. Pour le reste, moi personne ne m’écrit ! ainsi, et ce n’est pas mon but (si mon regard aime les plus jeunes, mon esprit la plupart l’emm…! d’où une grande modération de mes souhaits). Sinon ces extraits me chiffonnent un peu, car j’y sens un peu de complaisance (soit dit gentiment mais je suis ici pour être objectif, pas pour favoriser qui que ce soit, même et surtout pas moi). La plupart de ces courriers émanent de l’étranger, c’est pas anodin, et me parlent surtout de la force et de la fragilité des mots, encore… Me concernant, je ne cherche surtout pas à jouer au grand sage, je ne suis qu’un tout petit bonhomme, et je crois que ce qu’on peut apporter aux autres nous grandit souvent plus qu’eux. Si après cette grande sentence je ne m’attire pas 50 demandes en pacsage de jeunes garçons éblouis, promis je rentre dans les ordres, un détraqué de moins ! Bon, une suffira, et je me contenterai de fermer mon clapet, car je sais que mon désir sonne désordre. C’est bien d’en parler, mais on ne va quand même pas ouvrir une fanfare ! Enfants-phares ! comme dirait le grand Claude, j’aime votre lumière, cette force qui n’existe que dans le temps de sa traversée. On voit rarement celle qui émane de nous…
Biz Michael