De n'entendre rien à l'amour on finit par se perdre...
Visages singuliers dont les noms disparaissent en indifférence.
Echo désespéré(e) qui ne sera jamais entendu(e).
Vengeance de Némésis sous le signe d'un amour impossible.
Miroir qui séduit celui dont le reflet aveugle la réalité.
Fleur qui symbolise pour l'éternité l'homme qui, malgré lui, s'aimait un peu trop.
(illustration: "Echo et Narcisse" de John William Waterhouse) (musique: "adagio du concerto pour piano N°23" de Mozart, extrait de la chorégraphie "Le Parc" d'Angelin Preljocaj)
mutisme
Membre expérimenté
15 août 2015 à 01:22
J'aime beaucoup Mozart car il est davantage dans la dite "perfection" que Bach. Bach est dans le lâcher prise, la dite spiritualité
boumvoyageur
Membre suprême
15 août 2015 à 03:10
No chuis pas =>
Sauvage : oui. C écrit...
Être explicite/ sans jeux, sans sous-entendus.
G peur.
textoo
Légende urbaine
15 août 2015 à 08:57
Petit coup de "mou" Seb ?
pegase49
Légende urbaine
15 août 2015 à 09:35
En réponse au message de mutisme :
J'aime beaucoup Mozart car il est davantage dans la dite "perfection" que Bach. Bach est dans le lâcher prise, la dite spiritualité
Bonjour Mutisme,
Mozart, son nom est devenu un synonyme de virtuosité tellement il excellait dans tous les domaines de la musique...
Par exemple cet adagio...
Les premières notes, timides et gracieuses, mais qui nous laissent entrapercevoir la magnificence à venir...
Toute la maîtrise déjà, en quelques notes de piano.
Voici une vidéo que j'ai trouvé ou cet adagio est joué par Hélène Grimaud, émotion à fleur de peau.
pegase49
Légende urbaine
15 août 2015 à 09:38
En réponse au message de boumvoyageur :
No chuis pas =>
Sauvage : oui. C écrit...
Être explicite/ sans jeux, sans sous-entendus.
G peur.
Heureusement tu n'as rien de Narcisse mon BB.
Ni même d'Echo!
Tu es toi et c'est très bien comme ça...
Et c'est comme ça que je t'aime.
pegase49
Légende urbaine
15 août 2015 à 09:40
En réponse au message de textoo :
Petit coup de "mou" Seb ?
Non, pas du tout Textoo.
Juste besoin de Mozart, ça ne prévient pas et, en effet, ça peut étonner.
yggdrasil
Membre élite
15 août 2015 à 13:28
Une joute amoureuse bouleversante. La fluidité lyrique de cet adagio guide l'aЬапԁon de soi dans le champ des voluptés. Le chorégraphe a eu l'intelligence - et l'humilité - de se laisser guider. Il pose des pas sur les notes ; le geste accompagne le mouvement sonore. Je te cherche et te repousse. Tu me touches et je recule. Les derniers remparts tombent un à un : la raison, la fierté, l'orgueil. Force est bien de succomber.
pegase49
Légende urbaine
15 août 2015 à 13:49
En réponse au message de yggdrasil :
Une joute amoureuse bouleversante. La fluidité lyrique de cet adagio guide l'aЬапԁon de soi dans le champ des voluptés. Le chorégraphe a eu l'intelligence - et l'humilité - de se laisser guider. Il pose des pas sur les notes ; le geste accompagne le mouvement sonore. Je te cherche et te repousse. Tu me touches et je recule. Les derniers remparts tombent un à un : la raison, la fierté, l'orgueil. Force est bien de succomber.
Sur un rythme lent et sombre les corps succombent...
Le paroxysme de l'échange.
Quel air, que celui-ci, aurait pu sublimer avec autant de grâce ce moment іпtіmе qui lie deux êtres dans leur intimité.
lesssismore
Membre pionnier
15 août 2015 à 14:14
En réponse au message de pegase49 :
Vengeance de Némésis sous le signe d'un amour impossible.