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Ça schlingue chez les homophobes... - Homosexualité

Sujet de discussion : Ça schlingue chez les homophobes...
  • nael-39 Membre expérimenté
    nael-39
    • 21 mai 2014 à 13:53
    L'hostilité à des sujets comme l'hоmоsехualité tient peut-être à peu de chose. Et par exemple à une sensation de dégoût provoquée par l'environnement olfactif, avancent des chercheurs américain.

    A-t-on plus de risque de développer une aversion aux homos ou au mariage gay si l’on vit à côté d’une décharge publique ou si la tuyauterie de son immeuble est défaillante? Cette hypothèse a priori ridicule a été suivie par des chercheurs de l’Université de l’Arkansas. Dans un papier publié en ligne par la revue «PLOS» au début du mois, le professeur Patrick Stewart raconte une ехрéгіепсе plutôt concluante sur ce sujet.

    Son équipe a recruté un panel de 57 personnes qu’ils ont répartis dans deux salles où les cobayes devaient remplir des questionnaires sur leur opinions en matière politique et sociale. Or dans un local, les chercheurs avaient planqué des tampons d’ouate imbibés de quelques gouttes d’acide butyrique – la principale composante de la bonne vieille boule puante.

    Devinez quoi: les participants installés dans la salle à l’atmosphère fétide se sont montrés bien moins tolérants envers le mariage pour tous et les relations gay, mais aussi envers le sехe avant le mariage, l’avortement ou la рогпоgгарhіе. A l’inverse, les personnes «fortement en faveur» des unions gay étaient quasiment deux fois plus nombreuses dans la salle sans odeur que dans la classe puante.

    Le dégoût comme facteur politique
    L’ехрéгіепсе s’appuyait sur des études qui ont isolé, parmi les agents décisifs du conservatisme, le dégoût. Les chercheurs de l’Arkansas ont pris ce mot au pied de la lettre pour explorer l’impact de la sensation d’écœurement sur les opinions politiques et sociétales. Il serait particulièrement fort chez les personnes les plus âgées. «Il est possible, concluent les auteurs, que l’exposition à des facteurs olfactifs accroissent le sentiment de dégoût, qui à son tour active un système d’évitement et motive un désir de pureté (propreté).»

    » via New Republic.
  • kalison Membre élite
    kalison
    • 21 mai 2014 à 14:55
    Bonjour nael

    franchement il y a des gens qui ont du temps à à perdre

    qu'elle ехрéгіепсе utile
  • guignol88 Membre occasionnel
    guignol88
    • 21 mai 2014 à 16:30
    L'hostilité à des sujets comme l'hоmоsехualité tient peut-être à peu de chose. Et par exemple à une sensation de dégoût provoquée par l'environnement olfactif, avancent des chercheurs américain.

    A-t-on plus de risque de développer une aversion aux homos ou au mariage gay si l’on vit à côté d’une décharge publique ou si la tuyauterie de son immeuble est défaillante? Cette hypothèse a priori ridicule a été suivie par des chercheurs de l’Université de l’Arkansas. Dans un papier publié en ligne par la revue «PLOS» au début du mois, le professeur Patrick Stewart raconte une ехрéгіепсе plutôt concluante sur ce sujet.

    Son équipe a recruté un panel de 57 personnes qu’ils ont répartis dans deux salles où les cobayes devaient remplir des questionnaires sur leur opinions en matière politique et sociale. Or dans un local, les chercheurs avaient planqué des tampons d’ouate imbibés de quelques gouttes d’acide butyrique – la principale composante de la bonne vieille boule puante.

    Devinez quoi: les participants installés dans la salle à l’atmosphère fétide se sont montrés bien moins tolérants envers le mariage pour tous et les relations gay, mais aussi envers le sехe avant le mariage, l’avortement ou la рогпоgгарhіе. A l’inverse, les personnes «fortement en faveur» des unions gay étaient quasiment deux fois plus nombreuses dans la salle sans odeur que dans la classe puante.

    Le dégoût comme facteur politique
    L’ехрéгіепсе s’appuyait sur des études qui ont isolé, parmi les agents décisifs du conservatisme, le dégoût. Les chercheurs de l’Arkansas ont pris ce mot au pied de la lettre pour explorer l’impact de la sensation d’écœurement sur les opinions politiques et sociétales. Il serait particulièrement fort chez les personnes les plus âgées. «Il est possible, concluent les auteurs, que l’exposition à des facteurs olfactifs accroissent le sentiment de dégoût, qui à son tour active un système d’évitement et motive un désir de pureté (propreté).»

    » via New Republic.

    oh pauvre chou!!!
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 21 mai 2014 à 17:41
    Ce qui démontre une fois de plus que des pseudo-chercheurs grassement payés perdent leur temps en étude inutile...
    Il y a fort à parier que dans une atmosphère "putride" toute image, sujet, concept, ait vu un rejet des individus indisposés, le fait de les questionner justement sur l'hоmоsехualité est révélateur d'une pseudo étude orientée qui mêle рогпоgгарhіе , hоmоsехualité et de manière olfactive détritus / décharge / pourriture, par conséquent, une étude ouvertement homophobe!
    La conclusion de cette étude n'a sa place qu'à un seul endroit, la cuvette des chiottes.
  • yoomy Membre suprême
    yoomy
    • 21 mai 2014 à 19:06
    En même temps cette étude prouve que les gens les plus tolérants sont propres, et je n'en ai jamais douté x
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 21 mai 2014 à 19:08
    Sous-entends-tu que Jean Marie a une ... hygiène douteuse ?
  • yoomy Membre suprême
    yoomy
    • 21 mai 2014 à 19:09
    Je l'affirme haut et fort!
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 21 mai 2014 à 19:13
    HAHA ! Tu n'as pas tort, ce pourceau sent plus mauvais qu'un élevage complet de ses congénères.
  • yoomy Membre suprême
    yoomy
    • 21 mai 2014 à 19:15
    Ça doit puer le vieux poisson pané et la sauce à l’échalote 121_zps0aa075d3.gif x
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 21 mai 2014 à 21:44
    Bien sûr, il y a l'amalgame tout américain, digne de la droite chrétienne du Parti républicain, entre hоmоsехualité, рогпоgгарhіе, rapports sехuеls avant le mariage, mais - hormis ce biais qui rend cette étude bien orientée - je ne trouve pas les conclusions débiles : " «Il est possible, concluent les auteurs, que l’exposition à des facteurs olfactifs accroissent le sentiment de dégoût, qui à son tour active un système d’évitement et motive un désir de pureté (propreté).»

    Élargissons.

    La pauvreté, des conditions de vie médiocres, l'absence de tout-à-l'égout, des pièces surpeuplées où vive une famille nombreuse pauvre ne favorisent pas la conscience nette des droits humains (lorsque l'on est méprisé dans ses conditions de survie, l'on est rarement tolérant), mais pour autant faire une corrélation ou un rapport de cause à effet de type fatal, inévitable, incontournable serait une réduction des déterminations de la vie sociale à des lois absolues, ce qu'elles ne sont pas, et n'ont jamais été, sinon - un seul exemple - le mouvement ouvrier syndical, la Première Internationale (avec ses trade-unions britanniques majoritaires, alors que la misère était effroyable en grande-Bretagne) n'auraient jamais existé.

    Et cette volonté de changer ses conditions de vie, donc de salaires, donc de conditions de travail, etc... entraîne un mouvement de prise de conscience qui va à l'encontre de l'abrutissement et de l'étroitesse d'esprit.

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