Son phrasé est légendaire, sensible, émouvant, extrêmement nuancé, raffiné, sa version du Concerto n°1 pour violoncelle de Saint-Saens reste toujours 'LA' référence; voici
Mstislav Rostropovich
avec ses sonorités si particulières et si belles
dirigé par Giulini.
I. Allegro non troppo 0:20 II. Allegretto con moto 5:47 III. Tempo primo 10:45
Enjoy ! Et bonnes vacances aux 'Juilletistes' !
freaks
Membre élite
3 juillet 2019 à 06:09
Merci jiminy J avais besoin
sorbet
Membre élite
3 juillet 2019 à 06:52
Rostroprovich...une légende à lui seul...Merci pour ce partage.
ji13
Membre élite
3 juillet 2019 à 08:58
parfum-de-femme
Membre élite
3 juillet 2019 à 11:06
En réponse au message de sorbet :
Rostroprovich...une légende à lui seul...Merci pour ce partage.
Plus que la musique (je suis un сосhоп à qui on donne de la confiture), ce sont les images du musicien en train de jouer qui m'ont impressionné.
Ne plus avoir de limite précise entre main et violoncelle; l'abolition entre l'objet et le musicien. On ne sait plus si c'est la corde qui cède sous le ԁоіgt, le transporte d'un point à l'autre ou si c'est l'instrument qui subit. Il ne se sert plus d'un objet mais c'est un corps à corps.
Il ne font qu'un couple homme-instrument; l'un n'existe plus que pour et par l'autre; on ne sait plus qui commande dans l'affaire et le résultat illumine l'ensemble.
Une allégorie de la vie de couple, en quelque sorte…
jiminy
Membre émérite
3 juillet 2019 à 12:04
En réponse au message de freaks :
Merci jiminy J avais besoin
Heureux de te "ressusciter", dear Freaks !
jiminy
Membre émérite
3 juillet 2019 à 12:05
En réponse au message de sorbet :
Rostroprovich...une légende à lui seul...Merci pour ce partage.
Revenir aux légendes est une nécessité qui remet les choses à leur place.
jiminy
Membre émérite
3 juillet 2019 à 12:06
En réponse au message de ji13 :
Merci ji13 .
jiminy
Membre émérite
3 juillet 2019 à 12:15
En réponse au message de parfum-de-femme :
je suis un сосhоп à qui on donne de la confiture.
l'abolition entre l'objet et le musicien.
Il ne font qu'un couple homme-instrument; l'un n'existe plus que pour et par l'autre; on ne sait plus qui commande dans l'affaire et le résultat illumine l'ensemble.
Une allégorie de la vie de couple, en quelque sorte…
PdF,
Tu sembles 'être un сосhоп confituré' qui évolue bien; bravo !
On peut parler d'une symbiose quasi parfaite en effet entre l'homme-archet et son instrument. qui conduit vers une extase presqu'inévitable, selon la sensibilité de chacun.
Et celle-ci illumine, transcende la partition de Saint-Saens.
Oui, un couple réussi, si rare ! Bonne réflexion.
Merci de ta visite et de ton appréciation PdF.
jessdu59
Membre pionnier
3 juillet 2019 à 12:17
Aujourd'hui je suis paresseux...mais je m'associe à tous les commentaires précédents!..Merci pour ce grand moment!