En réponse au message de sandrlesb :
MEn réponse au message de climax007 :
-- Il y a dans la dernière circonstance de l'homélie présidentielle de Monsieur Macron (Cie & Limited) un grave détournement qui massifie en une version officielle des sentiments fluctuants, donc vivants, donc authentiques !
Oui, des sentiments, détournés de leur objet, c'est-à-dire de la tristesse éprouvée - ou point éprouvée - avec mesure et selon chacun, massifiés, et rendus stériles : voilà ce qui est le moins pardonnable, à la fin, à E. Macron (Cie & Limited).
C. Aznavour est devenu le francophone exemplaire, l'immigré exemplaire (tandis que les gens se noient en Méditerranée) et "intégré", le vecteur des relations diplomatiques entre France et Arménie.
Où sont les sentiments de chacun envers Charles Aznavour dans cette annexion au roman national, héroïque, que nous bâtit Monsieur le banquier Macron, de manière opportuniste, à coups de cercueils aux Invalides ???
Les émotions et les mots des sentiments sont dénaturés et détournés de leur objet !
Immigre ? Il est né à Paris
Charles Aznavour était donc français de plein droit, dès sa naissance, mea culpa.
Mais tel n'était pas l'objet principal de mon texte.
S'il y en a un qui se contrefiche des questions de "nationalité", acquise par le droit du sol, par naturalisation, ou en double nationalité - je ne m'en contrefiche pas cependant pour défendre ces possibilités de nationalité française -, c'est bien moi !
Il y a comme un art de détourner du propos principal d'un texte, au motif d'une erreur qui, de ma part, n'a pas de motif raciste, mais pour origine l'ignorance.