Bon tu es réaliste : tu "cherches" - eh oui, pas facile à trouver, comme une aiguille dans une botte de foin !!!- "l'homme de ta vie".
Déjà, je note, avec soulagement, que tu ne veux pas, tout de suite, "un homme pour toute ta vie"
car, hélas, l'amour se brise à bien des écueils (mauvaise humeur, froideur qui s'installe, antipathie qui peut monter et qui éclate, atomes "crochus" qui n'étaient que de surface, morosité quotidienne qui peut tout emporter même l'amour... et l'on pourrait citer mille circonstances où l'amour s'est perdu)
Et tu as les rêveries de ton âge -et d'ailleurs, je trouve que, à trop ramener mon âge, je fais comme si j'avais dépassé ces rêveries, qui persistent-, tu le désires "grand", "un peu musclé" (donc tu n'as pas été touché par les ravages du paraître body-buildé -qui demande un entretien fou, pour que ça ne retombe pas flasque), et qui te fasse rire, donc plaisant, avenant, bien de sa personne : j'espère que cet homme de ton âge existe, vraiment
Et, bien sûr qu'il y a de la candeur, comme une innocence, une inехрéгіепсе à l'exprimer comme tu le fais, mais sache que la jeunesse est surtout riche de n'avoir pas essuyé bien des déceptions, et que les noires déceptions ne sont pas un passage obligé de toute vie, bien qu'il faille les présumer ; aussi laisse de côté toutes les attaques епvіеuses des plus avancés en âge ; en matière amoureuse, l'ехрéгіепсе des autres ne sert à rien : il faut vivre ta propre vie.
Cordialement !!!