Benkom ayant été réveillé par les bruits dans le couloir, intrigué, se leva brusquement. Il ouvrit violemment sa porte et à la lueur d’une bougie sur son chandelier en or, que le roi lui avait offert en revenant d’une croisade, après avoir pille sur son chemin tout ce qu’il avait trouvé, aperçu la silhouette qui lui rappelait quelqu’un. Pourtant, s’était pas possible !… dans le noir toutes les silhouettes se ressemblent !
Intrigué il retourna se coucher pour rejoindre, perplexe, son аmапt qui dormait sous l’énorme édredon. Il était perturbé, mais se rendormi quand même, et lorsque le soleil se leva, il entendis tous ces bruits, inhabituels à cette heure dans les couloirs du château, il réveilla son аmапt, puis sauta au pied du lit et accouru vers les cris pour découvrir le prince héritier allongé dans cette chambre, qui n’était pas la sienne. De toute évidence, ce crime avait été maquillé et le corps déplacé. Des fibres d’une tenture d’une pièce qu’il connaissait bien étaient présents sous les ongles du prince : la bibliothèque. Et il semblait évident qu’il s’était vidé de son sang avec une lame : l’épée peut-être. Mais c’est cette silhouette qui l’intriguait… pourtant ça ne pouvait pas être lui…. Et si ça ne pouvait être lui, qui d’autre : le prêtre peut-être ?…
Hypothèse - bibliothèque - epee- gill92