Quand je vois un agréable garçon, je me dis que dans la jоuіssапсе il doit être beau, et c'est ainsi que, durant cette absence de Ton Gay, loin des соԛuіпs et des souvent beaux garçons ici, j'adoucis quelque peu mon hospitalisation pour soigner la mélancolie due à la mort de mon Simon il y a deux années.
Et des yeux, je touche des corps et des êtres, et conçois - à mon gré -, quand leur regard s'étrécit, déploie des passages de nuages, se voile, s'assombrit avant qu'il ne s'élargisse, et ne semble receler des myriades d'éclats amortis et vivaces, la beauté du mâle.
Ainsi je possède, subreptice et secret, des hommes, sans que même ils le supposent et le soupçonnent ; j'entre, ni vu ni connu, dans leur intimité, et épouse de mes formes, projetées dans un espace d'illusion palpable, leur corps tendu dans le plus grand рlаіsіг.
Je ne sais pas quelles sont vos techniques pour surmonter la distance entre les hommes, - hormis la séduction directe et concrète -, racontez-nous donc s'il vous plaît, cependant ce n'est pas une des moindres jоuіssапсеs, ni une des moindres aventures sentimentales que de partager, serait-ce une illusion et une hallucination du désir, la gloire d'un corps, en tant de mâles portant avec désinvolture leur grâce virile, en papillonnant de l'un à l'autre, et en tombant en amour quatre ou cinq fois par heure, très souvent au même moment, sans que se pose l'embarras du choix ni une obligation quelconque de choisir l'un plutôt que l'autre.
Oui, la beauté du mâle, dans sa jоuіssапсе, beauté multipliée par mille présences masculines , et encore une autre, à l'infini.
Voilà, bonne fêtes, à bientôt à toutes et à tous, je ne faisais que passer (pour donner des nouvelles à ceux et celles qui s'inquiétaient),
Climax69007.