De nouveaux scandales. - Le "Blabla" bar

Extrait du monde ( 29 juin 2016 )

" C’est une liste qui n’en finit pas de s’allonger. Pour la quatrième fois en huit mois, l’association L214 dévoile de nouveaux cas de maltraitance animale dans des abattoirs français. Deux établissements sont cette fois visés : ceux de Pézenas, dans l’Hérault, et du Mercantour, à Puget­-Théniers, dans les Alpes­-Maritimes. Filmées en caméra cachée entre novembre 2015 et fin mai, des vidéos insoutenables, auxquelles Le Monde a eu accès en exclusivité, montrent des sévices graves et des infractions manifestes perpétrés sur des bovins, des moutons, des сосhопs et des chevaux, lors d’abattages conventionnels et rituels. L214 devait déposer plainte, mercredi 29 juin, devant les tribunaux de grande instance de Béziers et de Nice pour maltraitance et actes de cruauté.
Comme sur les images tournées à Alès, au Vigan (Gard) et à Mauléon-Licharre (Pyrénées-Atlantiques), qui avaient suscité l’indignation, on voit de nombreux animaux mal étourdis reprendre conscience lors de la saignée ou de la suspension à la chaîne. Dans l’abattoir du Mercantour, un veau, accroché au rail par la patte arrière, tente de se relever pendant deux minutes entières, à moitié décapité, la tête dans un bac de sang. Plus tard, un mouton cherche à fuir, la gorge ouverte et en pleine conscience."

« Les scandales se suivent et se ressemblent »

Autant d’infractions aux réglementations en vigueur. Le code rural français et un règlement européen de 2009 stipulent que « toutes douleur, détresse ou souffrance évitables sont épargnées aux animaux lors de la mise à mort ». Les abattages conventionnels prévoient notamment un étourdissement des bêtes – à l’aide d’une pince à électronarcose, d’un pistolet d’abattage ou de CO2 – et une deuxième tentative si la première a échoué, afin de leur éviter d’être conscientes au moment de leur mort. Des dérogations sont prévues pour l’abattage rituel, halal et casher, lors duquel des sacrificateurs égorgent – d’un seul geste – les bêtes en pleine conscience. Dans tous les cas, les textes imposent un contrôle continu des pratiques d’abattage par les services vétérinaires.


Pourquoi de tels actes de cruautés qui se produisent à grande échelle ?

Le Foll avait promis des caméras de videos surveillance dans tous les abattoirs de France. Ont elles été installées ?
On s apercoit, grâce aux infiltrations réitérées de la tres efficace l'association L.214 que la productivité ( tuer toujours plus et n importe comment ) est toujours gagnante contre la cruauté....

Encore une fois, j exprime tout mon dégoût face à de tels actes de barbarie.

En réponse au message de cactus_sss :

C'est moche, le vert !

C est pas le sujet.

J aimerais bien Cactus que tu évites un trollage absurde pour laisser place à tous ceux qui veulent s exprimer sur ce grave sujet.

Merci.

Je suis pas loin de Pézenas. Si tu veux, je vais aller leur dire deux mots.

En réponse au message de spikeman :

Je suis pas loin de Pézenas. Si tu veux, je vais aller leur dire deux mots.

Inutile, la justice saura s en occuper, je l'espère, jusqu à obtenir la fermeture des abattoirs incriminés. Honte a eux. J ai hate de voir tous ces abatteurs monstrueux, recevoir de lourdes sanctions puis au chomage pour une durée indéterminée.
Je fais entièrement confiance à Brigitte Gothiere la présidente de l association..

En lisant ton sujet, je me disais que la télésurveillance est une marché pour lequel il se dépense des budgets sécuritaires importants, et me demandais pourquoi cette technique destinée à ordonner la société comme on ordonne des pions, totalement inefficace pour prévenir quelque événement que ce soit, deviendrait un moyen de contrôler des abattoirs ?

Mais bien sûr que dans le monde de la "concurrence libre et non faussée", les caméras ne peuvent pas être installés dans des abattoirs ! La barbarie tranquille, voilà le mot d'ordre présent !

En réponse au message de studio54bis :

Extrait du monde ( 29 juin 2016 )

" C’est une liste qui n’en finit pas de s’allonger. Pour la quatrième fois en huit mois, l’association L214 dévoile de nouveaux cas de maltraitance animale dans des abattoirs français. Deux établissements sont cette fois visés : ceux de Pézenas, dans l’Hérault, et du Mercantour, à Puget­-Théniers, dans les Alpes­-Maritimes. Filmées en caméra cachée entre novembre 2015 et fin mai, des vidéos insoutenables, auxquelles Le Monde a eu accès en exclusivité, montrent des sévices graves et des infractions manifestes perpétrés sur des bovins, des moutons, des сосhопs et des chevaux, lors d’abattages conventionnels et rituels. L214 devait déposer plainte, mercredi 29 juin, devant les tribunaux de grande instance de Béziers et de Nice pour maltraitance et actes de cruauté.
Comme sur les images tournées à Alès, au Vigan (Gard) et à Mauléon-Licharre (Pyrénées-Atlantiques), qui avaient suscité l’indignation, on voit de nombreux animaux mal étourdis reprendre conscience lors de la saignée ou de la suspension à la chaîne. Dans l’abattoir du Mercantour, un veau, accroché au rail par la patte arrière, tente de se relever pendant deux minutes entières, à moitié décapité, la tête dans un bac de sang. Plus tard, un mouton cherche à fuir, la gorge ouverte et en pleine conscience."

« Les scandales se suivent et se ressemblent »

Autant d’infractions aux réglementations en vigueur. Le code rural français et un règlement européen de 2009 stipulent que « toutes douleur, détresse ou souffrance évitables sont épargnées aux animaux lors de la mise à mort ». Les abattages conventionnels prévoient notamment un étourdissement des bêtes – à l’aide d’une pince à électronarcose, d’un pistolet d’abattage ou de CO2 – et une deuxième tentative si la première a échoué, afin de leur éviter d’être conscientes au moment de leur mort. Des dérogations sont prévues pour l’abattage rituel, halal et casher, lors duquel des sacrificateurs égorgent – d’un seul geste – les bêtes en pleine conscience. Dans tous les cas, les textes imposent un contrôle continu des pratiques d’abattage par les services vétérinaires.


Pourquoi de tels actes de cruautés qui se produisent à grande échelle ?

Le Foll avait promis des caméras de videos surveillance dans tous les abattoirs de France. Ont elles été installées ?
On s apercoit, grâce aux infiltrations réitérées de la tres efficace l'association L.214 que la productivité ( tuer toujours plus et n importe comment ) est toujours gagnante contre la cruauté....

Encore une fois, j exprime tout mon dégoût face à de tels actes de barbarie.

Je partage ton émotion et ton dégout.A quand des sanctions ad hominem ?

En réponse au message de serge-herv007 :

En lisant ton sujet, je me disais que la télésurveillance est une marché pour lequel il se dépense des budgets sécuritaires importants, et me demandais pourquoi cette technique destinée à ordonner la société comme on ordonne des pions, totalement inefficace pour prévenir quelque événement que ce soit, deviendrait un moyen de contrôler des abattoirs ?

Mais bien sûr que dans le monde de la "concurrence libre et non faussée", les caméras ne peuvent pas être installés dans des abattoirs ! La barbarie tranquille, voilà le mot d'ordre présent !

Pourtant, dans la principauté de Monaco dont le territoire n excède pas 2 km2, ou les caméras de vidéo surveillance sont légions, il n y a aucun problème de securite.
Pourquoi lesdites caméras failliraient elles dans les abattoirs alors que leur efficacité n est plus à démontrer dans l un des Etats les plus riches au monde ?

Merci papy pour ton dégoût partagé.