Delon s'en est allé ... (page 7) - Le "Blabla" bar

En réponse au message de studio.54ed :

J’ai toujours vu ce film « la piscine » en couleur, jamais en noir et blanc.

Quand on pense que tous ( Delon, Ronet, Schneider et Birkin ) sont partis…….

J’aime beaucoup ce titre interprète par Ruth Price « as yourself why » qu’on entend dans une scène de ce film.

il faut absolument que je me fasse un "refresh" car j'ai un peu oublié ^^ j'aime bien la musique ^^ je connaissais pas

"Une libération pour lui", Véronique Jannot rend un hommage bouleversant à la star du cinéma français.

En 1979, le film Le Toubib, réalisé par Pierre Granier-Deferre et porté par Alain Delon, Véronique Jannot et Bernard Giraudeau, sortait dans les salles obscures. C’est sur le tournage de ce long métrage que la comédienne, alors tout juste âgée de 22 ans, faisait la connaissance de l’immense star de Plein Soleil, de La Piscine, du Guépard ou encore de Rocco et ses frères. Une période difficile pour la jeune femme qui souffrait d’un cancer du col de l’utérus et suivait une chimiothérapie. Dans ces heures sombres, elle a pu compter sur le soutien d’Alain Delon, comme elle l’avait confié à Gala.

"Il m’a connue à l’un des moments les plus difficiles de ma vie. [...] Je me sentais comme une moins que rien, détaillait elle. Il ne l’a su que pendant le tournage, et il a été formidable, justement en faisant comme si de rien n’était." Elle précisait ensuite "ressen[tir] une gratitude éternelle envers lui".

Au micro d'une chaîne d'info , Véronique Jannot s’est remémoré ce tournage qui a changé sa vie, ce dimanche 18 août. "Je lui vouais plus que ma gratitude. C’était tellement énorme, à ce moment-là, de partager l’affiche avec lui. C’était mon Dieu, quelque part, je le remerciais tellement", s’est-elle souvenue, la voix trahissant son émotion.

C’est un grand chagrin qu’il soit parti, mais en même temps une libération pour lui, parce qu’il n’aimait pas cette époque." Elle a brièvement évoqué ensuite les informations qui avaient été diffusées dans la presse concernant la santé de l’acteur, ces derniers mois, ainsi que le conflit qui opposait les enfants du comédien. Après quoi, elle a ajouté : "Je suis heureuse qu’il soit parti pour échapper à tout ça." Dans le même contexte, elle s’est souvenue que c’était "formidable" de travailler avec lui, mais pas pour autant "confortable", car il soufflait en permanence le сhаuԁ et le froid. "Il jouait, c’était un peu comme un chat, a-t-elle conclu avec tendresse. C’était un merveilleux acteur. J’ai eu une chance folle de partager l’affiche avec lui."

En réponse au message de angelirryc :

"Une libération pour lui", Véronique Jannot rend un hommage bouleversant à la star du cinéma français.

En 1979, le film Le Toubib, réalisé par Pierre Granier-Deferre et porté par Alain Delon, Véronique Jannot et Bernard Giraudeau, sortait dans les salles obscures. C’est sur le tournage de ce long métrage que la comédienne, alors tout juste âgée de 22 ans, faisait la connaissance de l’immense star de Plein Soleil, de La Piscine, du Guépard ou encore de Rocco et ses frères. Une période difficile pour la jeune femme qui souffrait d’un cancer du col de l’utérus et suivait une chimiothérapie. Dans ces heures sombres, elle a pu compter sur le soutien d’Alain Delon, comme elle l’avait confié à Gala.

"Il m’a connue à l’un des moments les plus difficiles de ma vie. [...] Je me sentais comme une moins que rien, détaillait elle. Il ne l’a su que pendant le tournage, et il a été formidable, justement en faisant comme si de rien n’était." Elle précisait ensuite "ressen[tir] une gratitude éternelle envers lui".

Au micro d'une chaîne d'info , Véronique Jannot s’est remémoré ce tournage qui a changé sa vie, ce dimanche 18 août. "Je lui vouais plus que ma gratitude. C’était tellement énorme, à ce moment-là, de partager l’affiche avec lui. C’était mon Dieu, quelque part, je le remerciais tellement", s’est-elle souvenue, la voix trahissant son émotion.

C’est un grand chagrin qu’il soit parti, mais en même temps une libération pour lui, parce qu’il n’aimait pas cette époque." Elle a brièvement évoqué ensuite les informations qui avaient été diffusées dans la presse concernant la santé de l’acteur, ces derniers mois, ainsi que le conflit qui opposait les enfants du comédien. Après quoi, elle a ajouté : "Je suis heureuse qu’il soit parti pour échapper à tout ça." Dans le même contexte, elle s’est souvenue que c’était "formidable" de travailler avec lui, mais pas pour autant "confortable", car il soufflait en permanence le сhаuԁ et le froid. "Il jouait, c’était un peu comme un chat, a-t-elle conclu avec tendresse. C’était un merveilleux acteur. J’ai eu une chance folle de partager l’affiche avec lui."

Je crois que beaucoup de ceux qui ont connu les plus belles années qu’ils soient nés après la seconde guerre mondiale ou bien après jusqu’à la fin des années 60, début des années 70, ne peuvent pas aimer cette époque.

oui certains s'exilent même ailleurs qu'en France ...

En réponse au message de angelirryc :

oui certains s'exilent même ailleurs qu'en France ...

Ce n’est pas lié à la France mais à l’époque elle même : surpopulation, mondialisation, pollutions de toutes natures, déforestations, agriculture et élevages intensifs, ordinateurs prenant de plus en plus de place au détriment de l’humain, « tout numérique » au détriment des contacts réels, avancées technologiques sans fin, consumérisme effréné et j’en passe.

Comment être heureux ( sauf pour les plus jeunes qui ne connaissent que ce système et s’en accommodent ) dans un tel environnement ?

Sauf à mettre des œillères, toutes personnes sensées et réfléchies ne peuvent pas être heureuses et épanouies à notre époque.

En réponse au message de studio.54ed :

Ce n’est pas lié à la France mais à l’époque elle même : surpopulation, mondialisation, pollutions de toutes natures, déforestations, agriculture et élevages intensifs, ordinateurs prenant de plus en plus de place au détriment de l’humain, « tout numérique » au détriment des contacts réels, avancées technologiques sans fin, consumérisme effréné et j’en passe.

Comment être heureux ( sauf pour les plus jeunes qui ne connaissent que ce système et s’en accommodent ) dans un tel environnement ?

Sauf à mettre des œillères, toutes personnes sensées et réfléchies ne peuvent pas être heureuses et épanouies à notre époque.

exact mais cela les pousse à aller vers des endroits où il y a aussi une meilleure qualité de vie et donc s'éloigner de la morosité ambiante des médias français ...

En réponse au message de angelirryc :

exact mais cela les pousse à aller vers des endroits où il y a aussi une meilleure qualité de vie et donc s'éloigner de la morosité ambiante des médias français ...

Il faut alors aller très très loin sur une île perdue de l’océan indien ( peu habitée ) pour échapper aux affres du monde moderne.

Les chaînes de télévision bousсulent leur programmation pour rendre hommage à l'acteur décédé ce dimanche 18 août à l'âge de 88 ans.

►Déprogrammations en cascade. Quelques heures après l'annonce du décès d'Alain Delon, les chaînes de télévision rendent hommage au monstre sacré du cinéma français. Ce dimanche 18 août 2024, TF1, France 2 et W9 bousсulent leur grille.

Alors si vous voulez revoir des films 'culte '

►Dès 21 heures, la chaîne du groupe M6 rediffusera "Borsalino", le long-métrage culte de Jacques Deray de 1970.( sur W9)

►Sur France 2,"Le samouraï " (1967) de Jean-Pierre Melville à 21h05, suivi dès 22h55, par la rediffusion du film "La Piscine" (1969), film emblématique d'Alain Delon avec Romy Schneider.

Les hommages se poursuivront sur les antennes de France Télévisions tout au long de la semaine.

Lundi 19 août, dès 21h10, France 3 proposera à ses téléspectateurs de (re)découvrir "Plein Soleil", le film de René Clément (1960).

Vendredi 23 août, dès 21h, France 5 retransmettra "Monsieur Klein" le film de Joseph Losey de 1976.

je suppose qu'ils mettront des "replay"

Je rallumerai ma TV éteinte depuis des années ( j’espère qu’elle marche encore ) pour revoir Plein soleil.