Cela fait deux nuits que Calais connaît des émeutes de la part des « chances pour la France », de ces victimes dont les grands média nationaux ne tarrissent pas de louanges…

Avant-hier 16 policiers blessés, hier huit de plus, trafic interrompu, des intrusions sur les propriétés privées, les migrants s’emparant de clôtures de particuliers afin de les brûler, le sentiment d’insécurité n’a jamais été si présent.

Jusqu’à présent épargnées, les personnes habitants à proximité du pont de la route de Gravelines, qui enjambe la rocade portuaire, ont vu des migrants рéпétгег chez elles pour s’emparer d’objets (des morceaux de bois, un portail, etc.) afin de bloquer la rocade. « C’est nouveau, dit la préfète. Ils n’ont pas été agressés mais on est rentré chez eux. On va aller les voir pour les écouter et leur donner des conseils sur les réflexes à avoir dans ce genre de situation. »
Dès ce mardi soir, des forces de l’ordre se positionnent sur place. « Il y aura un dispositif visible près des habitations, qui sera renouvelé autant que nécessaire », assure François Angelini, directeur de la sécurité publique pour le Pas-de-Calais (DDSP). « On doit être aussi mobiles et s’adapter autant que les migrants », ajoute la préfète. La rocade sera de nouveau fermée si nécessaire, pour protéger les routiers.
» Ils essaient néanmoins toujours de passer dans le Tunnel. « Il y a environ 300 tentatives d’intrusion par nuit. »
La situation explique en partie que les violences ont monté d’un cran. « Jusqu’alors, on évinçait des groupes de 30, 40 personnes. Là, il y avait deux groupes de plus de 100 personnes chacun, beaucoup plus vindicatifs. » Les migrants sont aussi mieux « équipés », témoigne le DDSP : meuleuses, cisailles, barres de fer…
Des « Européens » soufflent sur les braises
Par ce mot, la préfète désigne « des membres d’associations comme les No Borders, français ou étrangers », vus parmi les migrants lors des deux nuits. « Ils n’ont pas participé aux violences mais ils utilisent les migrants pour leur propre combat », déplore-t-elle.
La réponse du maire est la suivante : reloger les riverains, les français doivent laisser place à l’envahisseur, triste réalité…

« Je rappelle aux riverains que je ne suis pas responsable de la situation. C’est une responsabilité du Premier ministre et du ministre de l’Intérieur. Nous allons aller à leur rencontre, c’est notre rôle. Si certains souhaitent être relogés, même temporairement, nous étudierons leur situation. »
Ce que nous voyons ici c’est la France DE HOLLANDE ! DU SOCIALISME ! LA France SANS COUI**E ! Cet état n’existe plus, de vulgaires clandestins, des insignifiants se permetttent de faire régner LEUR LOI. France tu n’es RIEN.

Cela va finir, je pense par des calaisiens excédés qui vont prendre leur fusil de chasse et tirer dans le tas...Et franchement je ne leur donnerais pas tort.