C'est d'ailleurs troublant lorsque l'on prend le temps d'observer les grands singes de constater à quel point ils peuvent adopter des comportements anthropomorphiques, cette femme a su les aimer, ça n'a certes pas pesé bien lourd face aux intérêts de braconniers .
Mais j'ai toujours en tête, les images d'un documentaire, dans lequel on voit, une femelle gorille, emporter à chacun de ses déplacements son petit, mort-né, avec ce déni de la mort que l'on pensait propre à l'être humain.
Les singes sont suffisamment proches de nous pour tester la toxicité de produits destinés à l'homme mais, apparemment, pas suffisamment pour leur donner le statut d'êtres conscients, sensibles et ressentant douleurs et souffrances. C'est ignoble quand on y pense. Merci Kyrja pour ce coup de projecteur.