En réponse au message de tres-саlіп :
Comme tu es persuadé d'avoir raison je te laisse avec tes certitudes! Pauvre Rimbaud!...
Sur internet on trouve n'importe quoi!
et les plus grosses absurdités
C'est vrai que le faux érudit et vrai cuistre que tu es connaissait le vécu d'Arthur Rimbaud mieux que Paul Verlaine himself.
Haha! Crétin...
Je prends donc la note éloquente concernant les "Stupra".
"On donne ce titre éloquent à trois sonnets attribués à Rimbaud, publiés pour la première fois ensemble en 1923. Le dernier (L'idole. Sonnet du Тгоu du Сul.) se trouve dans l'Album Zutique. L'obscénité des deux premiers ne tire guère à conséquence, bien que Verlaine ait extrait du premier l'épigraphe « Ange ou Pource » pour la série Filles de Parallèlement, et du second la formule « Nos fеssеs ne sont pas les leurs », qu'il place sous le titre de Morale en raccourci, dernière pièce de Femmes. Le fait que Verlaine attribue ces citations à Rimbaud plaide en faveur de l'authenticité de ces sonnets. Quant au Sonnet du Тгоu du Сul, il se trouve aussi dans Hombres de Verlaine (imprimé "sous le manteau"), avec cette explication : « Le Sonnet du Тгоu du Сul, par Arthur Rimbaud et Paul Verlaine. En forme de parodie d'un volume d'Albert Mérat, intitulé L'Idole, où sont détaillées toutes les beautés d'une dame : Sonnet du front, Sonnet des yeux, Sonnet des fеssеs, Sonnet du..., dernier sonnet. » En face des deux quatrains, on trouve encore dans Hombres : Paul Verlaine fecit, et en face des deux tercets : Arthur Rimbaud invenit."