tu as fait bien bien de mettre cet extrais qui, bien qu’enregistrement studio un peu soporifique ,, comme je n'ai toujours pas piger comment partager des images ou vidéos qui permettent d'entendre l'enregistrement de Maria Callas, tu ouvres sur la vraie découverte de cette oeuvre de Gounod que l'on range facilement das les ennuyeux.
Tiens oui, en effet...
La grande Maria ne s'y était pas trompée, avant la popularisation de cet air via le film de J.J. Beneix.
pegase49
Légende urbaine
31 mars 2017 à 16:15
En réponse au message de jiminy :
En réponse au message de pegase49 :
Hihi, Non,je sais Jacques...
Gérard c'est le prénom de Jiminy.
Tu vois, Jacquot a tout compris, le sacripant !
Ravi d'avoir réveillé en vous tous ces souvenirs.
J'ai quand même, sans vouloir vous offenser le moins du monde, une très très très nette préférence pour Renata !
Après, Gérard, c'est plus pour le côté "madeleine de Proust" que pour le côté "comparaison de talents".
jacques3223
Membre élite
31 mars 2017 à 16:18
On a tout rapproche à Maria callas, sauf d'être justement Maria Callas, l'immense.
jiminy
Membre émérite
31 mars 2017 à 16:47
En réponse au message de pegase49 :
Après, Gérard, c'est plus pour le côté "madeleine de Proust" que pour le côté "comparaison de talents".
Absolument !
Les deux "rivales" (en fait, elles étaient très amies) chacune dans leur genre, sont superbes. Maria, un peu plus fragile, voix lus menue, et un très beau climat par la direction. Renata, avec une voix deux fois plus large, tout aussi dramatique, et saine.
Au fait, not' Jacquot semble confondre Gounod et Catalani...Enfer et damnation !! Retourne réviser tes classiques, Jacquot.
Dans mes madeleines de Proust, j'ai toujours une grande affection pour Magda Olivero. Pas de prise de son style 'DECCA', mais cela donne une assez belle idée.
Sympa cette confrontation. Ciao Pegasino, et tous les autres.
pegase49
Légende urbaine
31 mars 2017 à 16:52
Oui Gérard,
Dans nos coeurs résonnent des souvenirs qui se rappellent et s'attachent à nous sans échelles de valeurs...
Ils sont pour chacun d'entre-nous, selon nos souvenirs respectif, des points d'encrages qui nous singularisent des autres.
jacques3223
Membre élite
31 mars 2017 à 16:52
En réponse au message de jiminy :
En réponse au message de pegase49 :
Après, Gérard, c'est plus pour le côté "madeleine de Proust" que pour le côté "comparaison de talents".
Absolument !
Les deux "rivales" (en fait, elles étaient très amies) chacune dans leur genre, sont superbes. Maria, un peu plus fragile, voix lus menue, et un très beau climat par la direction. Renata, avec une voix deux fois plus large, tout aussi dramatique, et saine.
Au fait, not' Jacquot semble confondre Gounod et Catalani...Enfer et damnation !! Retourne réviser tes classiques, Jacquot.
Dans mes madeleines de Proust, j'ai toujours une grande affection pour Magda Olivero. Pas de prise de son style 'DECCA', mais cela donne une assez belle idée.
Sympa cette confrontation. Ciao Pegasino, et tous les autres.
en effet me suis planté c'est de castalani, pour moi le prefection absolue est enyeuse, je cherche plus la fragilité et l'incertitude que la perfection bien proprette
pegase49
Légende urbaine
31 mars 2017 à 16:54
En réponse au message de jacques3223 :
en effet me suis planté c'est de castalani, pour moi le prefection absolue est enyeuse, je cherche plus la fragilité et l'incertitude que la perfection bien proprette C'est pour ça que j'aime Natalie Dessay.
jiminy
Membre émérite
31 mars 2017 à 17:01
En réponse au message de jacques3223 :
pour moi le prefection absolue est enyeuse, je cherche plus la fragilité et l'incertitude que la perfection bien proprette
Oh oh, mais v'là t'y pas que not' Jacquot nous fait rire maintenant ! Mon cher Jacquot, "L'incertitude" dans le domaine lyrique n'a pas lieu d'être. Ou tu as une vraie voix soutenue par une réelle technique solide, et tu éсumes les scènes internationales, ou pas, et tu restes dans un incognito de bon aloi !
jacques3223
Membre élite
31 mars 2017 à 17:21
En réponse au message de jiminy :
En réponse au message de jacques3223 :
pour moi le prefection absolue est enyeuse, je cherche plus la fragilité et l'incertitude que la perfection bien proprette
Oh oh, mais v'là t'y pas que not' Jacquot nous fait rire maintenant ! Mon cher Jacquot, "L'incertitude" dans le domaine lyrique n'a pas lieu d'être. Ou tu as une vraie voix soutenue par une réelle technique solide, et tu éсumes les scènes internationales, ou pas, et tu restes dans un incognito de bon aloi !
je suis un impossible artiste et seule l’incertitude peut mener à la beauté et permet de transcender académisme ennuyeux, la fragilité et incertitude permettent d'aller de l'avant, d'aller au de la des idées établies et définitives, c'est à dire formatives
jacques3223
Membre élite
31 mars 2017 à 17:29
La talent est, par nature iconoclasteil renverse ou bouscule les dogmes établies par les académistes, ceux qui jugent du bien et du mal, sans leurstгапsgessions nous serions encore bien minables