De temps en temps je crauqe, sous le poids de l'esperance, je vais parfois à contre sens...
so18
Membre élite
28 juin 2010 à 21:52
potitteuf
Membre élite
28 juin 2010 à 21:55
bisous!
sysley
Membre élite
28 juin 2010 à 22:07
J'aime bien ce clip
so18
Membre élite
28 juin 2010 à 22:19
Ah oui, et sa tête à la fin, elle est magique vraiment quoi!
belette
Membre pionnier
28 juin 2010 à 22:37
Et quand les mots restent sots, face à nos sceaux que peut l'égo ? Pro, texto, argot ou impro, je voudrais bien lacher mes maux mais aussitôt je tombe à l'eau. Impôt de mes erreurs, ma peau, polie aux dépôts de tes positions et de nos appositions, s'impose en suppôt. J'ai les maux sans mots et l'émoi ammoral. Où sont mes mots, où sont mes moi ? Alors écrire pour guérir mais si on s'inspire et se respire, ne peut-on guérir par le rire sans s'écrire avant de se vivre ?
so18
Membre élite
28 juin 2010 à 22:46
Parfois nos maux sont aussi forts juste parce que les mots ne viennent pas. Et souvent, aussi, on a peur de ne pas être compris, c'est une question de confiance, de chance, d'епvіе, de volonté. La volonté c'est aussi de pouvoir attendre qu'ils viennent ces mots, et l'autre, quand l'епvіе est là, prend le temps, attend, bienveillant, et souriant, serein....
Ecrire, c'est descendre dans la fosse du souffleur pour apprendre à écouter la langue respirer là où elle se tait, entre les mots, autour des mots, parfois au coeur des mots.