Bonjour Jimmy,
J'ai parfois ce genre de pensées, alors je m'évade sur les interlignes,
Comme ce soir du 15 janvier 2015,
Je vivais la vie, comme en état d'urgence,
Je maquillais les jours, masquait les Dimanches,
Je traversais les nuits sans sommeil,
Et les jours sans réveil,
J'ai pleuré tant de fois que je n'ai plus de larmes,
J'ai failli tomber tant de foi,
Mais je n'ai jamais déposé les armes,
L'absence, la solitude étaient si présentent,
Qu'elles recouvraient les miroirs,
J'ai vécu cela longtemps dans le noir,
Les années se résument à présent
A un nuage de larmes dans les yeux,
A un passé qui se bousculent un peu,
L'espoir de vivre à nouveau heureux.
Bien à toi ,
Bel-ami