Connexion :

En finir... (page 2) - Homosexualité

Sujet de discussion : En finir...
  • amourgay14 Membre élite
    amourgay14
    • 28 janvier 2016 à 12:39
    Bonjour "Jimmy",

    Il faut absolument que tu reçois une aide d'autres personnes. ...,beaucoup de gays ont effectivement songer à faire cette acte désespéré...mais "André Malraux" (lui aussi songea plusieurs fois franchir cette étape...) déclara un jour :

    "LA VIE VAUT RIEN MAIS RIEN VAUT UNE VIE"!!


    Et c'est exact...alors courage et pas de bêtises.
  • adrenalinea Membre élite
    adrenalinea
    • 28 janvier 2016 à 17:21
    Bonjour Jimmy,

    je rejoins Métal et j'ajouterai
    tu dois trouver en toi la cause de cette mélancolie et l'affronter
    et en toi la force d'avancer,
    Le monde a la couleur
    que l'on veut bien lui donner
    ça marche pour toi aussi
    il ne viendra pas à toi c'est à toi de t'ouvrir à lui
    c'est ainsi que l'on se met d'un coup à briller
    et attirer les autres...
    Ton post me dit que tu es sur la bonne voie
  • 1hompour1hom Membre confirmé
    1hompour1hom
    • 28 janvier 2016 à 21:39
    Bonsoir Jimmy,
    Quelle ехрéгіепсе as-tu donc pour affirmer qu'avoir епvіе d'en finir est une constante chez les homos. Je m'insurge contre cette affirmation, elle n'appartient qu'à toi.
    Avoir епvіе d'en finir n'a rien à voir avec le fait d'être homo ou pas. Cela a plutôt à voir avec ce qu'on a à l'intérieur de soi. Avoir епvіе d'en finir (avec soi-même en premier, avec les autres ensuite) est quelque chose d'extrêmement personnel qu'on ne peut pas généraliser.
    Hermes75 écrit que la vie n'est pas un long fleuve tranquille. C'est très vrai et personne n'y échappe. Le fleuve de la vie peut en effet être sоumіs à des perturbations, des tempêtes, des tгоus noirs et des gouffres insondables.
    Des idées noires et des епvіеs d'en finir, absolument n'importe qui peut en avoir. A un moment où le lendemain ou même la minute d'après n'a plus de sens. Tout est noir et on n'entrevoit plus rien.
    La question à se poser est 'Pourquoi moi je n'entrevois plus rien pour la minute d'après ou pour demain'. Car les autres n'ont pas changé ni le monde autour. C'est bien un phénomène qui se passe à l'intérieur de soi.

    Je suis d'accord avec toi. Il m'est arrivé d'avoir епvіе d'en finir. Rien à voir avec le fait d'être homo, je te le garantis. Une sale passe où je n'entrevoyais plus rien. Plus exactement, je n'étais plus capable et plus en état d'entrevoir quoi que ce soit. Là est le problème fondamental, à un moment donné on est plus capable de... Plus capable non plus d'analyser pourquoi on est plus capable. Plus capable de rien et plus capable de vivre quelque part.
    Fort heureusement entre les idées et l'acte, il y a un gouffre. A ces moments-là il doit rester une étincelle qu'on ne voit pas mais qui est là quand même n'est-ce pas ?
    Il faut voir que tu es toujours là Jimmy et j'en suis heureux autrement je n'aurais pas fait ta connaissance.
    Il y a toujours plusieurs façons de voir les choses. Tu peux te demander pourquoi tu as епvіе d'en finir ou en tout cas y penser (2/3 fois par semaine, je trouve ça énorme).
    Mais aussi pourquoi tu vis toujours, tout simplement. Après avoir pensé que tu n'avais plus de lendemain, tu en as pourtant eu un et même un surlendemain. C'est donc qu'en fin de compte ce lendemain méritait d'être vécu. Non ? Ne dis-pas non s'il te plait...
  • steddy Membre occasionnel
    steddy
    • 28 janvier 2016 à 21:55
    Http://www.topsante.com/medecine/psycho/depression/vivre-avec/4-fois-plus-de-suicides-chez-les-hоmоsехuеls-76531
  • spikeman Membre suprême
    spikeman
    • 29 janvier 2016 à 20:11
    En réponse au message de metal :

    En dehors du fait qu'il est évident qu'ici il est de bon aloi de parler de fromages, mais d'ignorer un coup de main une main tendue, et que ça reflète bien la mentalité gay du "j'men'fout des autres"

    Disons que je me sens plus compétent pour parler de fromage que pour faire de la psychologie.
    Donc ne pas répondre, ne signifie pas forcément qu'on s'en fout.
    Parce que si je dis une connerie sur du fromage, ça ne porte pas à conséquences, alors que si je dis une connerie sur ce sujet, ça risque d'être plus grave.
  • hermes75 Membre élite
    hermes75
    • 29 janvier 2016 à 21:07
    En réponse au message de spikeman :

    En réponse au message de metal :

    En dehors du fait qu'il est évident qu'ici il est de bon aloi de parler de fromages, mais d'ignorer un coup de main une main tendue, et que ça reflète bien la mentalité gay du "j'men'fout des autres"

    Faire ce genre d affirmation c est simplement prétendre que parcequ on est gay, on est différent, en l occurence indifférents aux maux ressentis par certains.
    L indifférence à ete si bien chantée par Gilbert Becaud. Elle n est pas propre aux gays mais est helas, universelle et trop souvent répandue.
    Disant cela, je me défend bien de vouloir défendre les "gays" qui ont autant de défauts ou de qualités que les non gays.
    Une orientation sехuеllе différente, n est en aucun cas un marqueur pour légitimer "une culture de l indifférence"
  • mazhe Membre confirmé
    mazhe
    • 28 février 2016 à 00:45
    Bonjour,

    J'ai eu moi même beaucoup de ce type de pensée étant jeune avec des minis tentatives puis elles ont disparues avec le temps.

    Elle sont revenus il y a environ 1 an et demi mais bisarrement pas parce que j'allais mal mais parce que pour une fois dans ma vie j'avais accompli quelque chose. J'ai trouvé ça très étrange mais avec le recul je me dis qu'en fait j'avais peur que tout s'effondre de nouveau et je préférais partir avec se sentiment de réussite.

    Bon pour finir j'avais bel et bien raison tout s'est de nouveau écroulé mais comme ça j'ai une nouvelle raison de vivre : Voir ce que l'avenir me réserve :)
  • jimmythb59 Membre occasionnel
    jimmythb59
    • 17 mars 2016 à 23:13
    Merci à tous pour vos réponses

    Je vis un moment particulier. J'ai trouvé un nouveau logement bien meilleur que celui où j'écris actuellement mais je me sens coincé
    J'ai pris un nouveau logement j'ai tout payé : Location et caution + frais d'agence bref
    Ne reste plus qu'à déménager. Cela dit une fois de plus je me rends compte que le nombre de personnes susceptibles de m'aider pour mon déménagement se comptent sur les ԁоіgts de la main. Je me sens mal à demander de l'aide, cela me met mal à l'aise, je n'aime pas être celui qui demande de l'aide. Je me sens faible et redevable dans ce genre de situation.
    J'envisage de passer par un déménageur, cela coutera un peu d'argent mais au moins je serais indépendant
  • jimmythb59 Membre occasionnel
    jimmythb59
    • 17 mars 2016 à 23:16
    Sinon pour revenir sur le sujet initial du topic (désolé du HS précédent), je vis par intermittence. Je suis souvent déprimé et triste, cela devient handicapant au boulot. J'essaie de faire bonne figure envers mes chefs mais pour les collègues je n'ai plus beaucoup d'énergie pour faire semblant
  • steddy Membre occasionnel
    steddy
    • 18 mars 2016 à 10:07
    Consulté ton médecin traitant qui fera son diagnostic de Ron état et envisagera avec toi la meilleure prise en charge possible, éventuellement t'orienter vers un psychiatre ou un psychothérapeute. Tu peux aussi prendre contact avec le CMP le plus proche, tu auras un premier rdv avec un (e) infirmièr(e) qui déterminera de quels types de soins tu as besoin, c'est public donc totalement gratuit mais l'attente pour avoir un premier rdv est parfois assez longue.

Pas encore inscrit(e) ? Créez votre profil en quelques clics seulement et profitez !