Pour moi, le verre n'est ni moitié plein ni moitié vide.
Je me concentre sur ce qu'il y a dedans.
Je ne sais pas expliquer mais la perspective du malheur comme du bonheur me laisse assez indiférente.
Je prends ce qui vient sans état d'âme.
Je profite des bonnes choses quand elles arrivent comme je supporte les mauvaises.
C'est un tout, un lot à prendre et à ne pas laisser.
On doit faire avec et on n'a pas le choix.
Mais, au fond, je suis plutôt de nature optimiste car, même en sachant que je commencerai un jour une journée que je ne finirai pas, je continue le jeu de la vie alors que je suis certaine de perdre la partie.
Heureusement, je suis à peu près bio-dégradable…