Ennio Morriconne , une star is born (page 2) - Musique & cinéma

Bonjour Climax,

J'espère que la nuit fut bonne après avoir appris l'impensable lol
Ah comment t'aider ? A l'heure où tu appelais au secours, j'étais aux prises avec Morphée.

En réponse au message de sweetheart :

Bonjour Climax,

J'espère que la nuit fut bonne après avoir appris l'impensable lol
Ah comment t'aider ? A l'heure où tu appelais au secours, j'étais aux prises avec Morphée.

La vue de ta barbe jolie, et de tes yeux en amandes de biche, me fait passer l'horrible nouvelle. Sweetheart : quand on a cette pilosité, ces yeux de brun, et ce visage séraphique, le pardon arrive de subito chez moi. Comme la canonisation chez les catholiques !

Mais moi, j'ai des critères matérialistes et très inter-religieux pour mes distinctions !!!

Non mais, je ne me souviens même pas de la musique de ce navet, c'est dire, c'était au même niveau normalisateur que le reste : une musique plate, sirupeuse, je présume. Brrrrrr.

Sweetheart intéressant néanmoins, restons en contact pour déplorer chastement, hastement (oui, comme "hast", mot germaпіԛuе), tâtant, avec des hans, et des âââââhs, ce faux pas IMPENSABLE d'E. Morricone, se commettant dans cette insanité, cette gaudriole.

Et - je le suppose - le détournement du Маîtге, ԁгоgué pour composer en automate par les Brigades Rouges et la Maffia Molinaro, a rapporté gros : a-t-on enquêté sur les revenus distribués aux B. R. grâce à l'infamie de "La cage aux folles" ??? On nous cache TOUT : les Illuminati, je vous dis !!!

Bien à toi, Sweetheart, ô cœur d'artichaut.

Ah bienveillant Climax, me voilà rassuré, à la fois sur la qualité de ton sommeil et celle de mon... duvet