En réponse au message de rocco_biffredi :
C'est comme Amali Rodrigues : tout le monde en dit du bien mais Linda De Suza a plus de talents
Je me bidonne devant la provocation grossière de cette inculture feinte !
D'abord, beaucoup reprochent au fado d'A. Rodrigues d'être trop dramatique, trop joué, plaintif ; cette dame qui est au Panthéon national portugais n'a jamais fait l'unanimité, mais quelle voix et quels textes.
N'écoutant jamais Linda de Sousa, je ne me prononcerai pas sur son talent. Mais elle est représentative de ce million de Portugais immigré en France, avec ses valises en carton bouilli (ce n'est pas un cliché), entre 1960 et 1975 : à ce titre, elle m'émeut, et a droit à tout mon respect.
Par contre, sur le talent de faiseur de Dan Brown, je puis me prononcer : c'est un grossiste et un opportuniste de l'ésotérisme le plus vulgaire et racoleur.
Et que Paulo Coelho soit plus vепԁu que les autres - vrais - écrivains lusophones me navre ; heureusement sa médiocrité va s'oublier à la longue et les choses littéraires prendront leur juste mesure. -))
Bien à vous tous,
Serge dit Climax.
- Non, Umberto Eco ne peut être placé dans la même catégorie que Dan Brown et Paulo Coelho : on ne peut le rapprocher de ces individus ! Umberto Eco est la preuve, comme dans le genre fantastique G. Marquez avec "Cent ans de soli", qu'un roman complexe et intelligent, bâti à partir d'une solide connaissance intellectuelle du Moyen Âge, peut conquérir un public planétaire nombreux.