Et la grève continue... (page 5) - Le "Blabla" bar

En réponse au message de binalla :

En réponse au message de freaks :

En réponse au message de binalla :

Hier a eu lieu une législative partielle pour remplacer Manuel Valls qui aprés 30 ans de carrière politique en France pour devenir président est parti se présenter à la municipale de Barcelone

Résultat :

82 % d' abstention et 20 % des voix pour la République en marche

Merci, et au revoir !

Je suis d avis que plus personne ne fasse mention de ce coléoptère politique dont l intégrité et la moralité républicaine est proche du néant

Là le probleme est pas valls mais les résultats de la législative...

Justement c est à cause de ces donneurs de leçon avide de pouvoir et condescendant envers l âme citoyenne que les français tournent le dos au vote republicain

Je m'y serai pris autrement que par des manifestations.

J'aurais organisé un mois sans péage où plus personne ne prend l'autoroute.

Les avantages :
Pas de manifestation qui dégénère
Consommation de carburant réduite
Moins de pollution
Economie sur les sandwichs de la pause qui sont vепԁus une fortune sur les aires
Diminution des importations de pétrole.
Pas d'impact sur les commerces qui ont vu leur fréquentation chuter.

Les inconvénients
Trajets plus longs (mais c'est pas insurmontable non plus).
Plus de рlап сul en short très court et jambes lisses sur les aires d'autoroute (ça va grave manquer à certains)

Entre le manque à gagner de l'état sur les taxes carburants et celui de la TVA des frais d'autoroute, les politiques le sentiraient bien passer. Il n'y a qu'en touchant leur porte monnaie que ce sera efficace.

Ce qui se passe actuellement ne va pas les toucher. Il continueront à vivre sans subir les blocages ou autres inconvénients.

Et personnellement, cela fait 2 ans que je n'ai pas franchi un péage. Ça se vit très bien.

Et ce soir sur France 5 le gros qui donne une interview pour dire qu 'il faut donner un nouvel élan à la gauche...

Je suis toujours pas convaincu par ce mouvement, ça ne les atteints pas, un arrêt total de l'économie peut les toucher... Mais ditect ils envoient les gendarmes donc...

Les partis de l' opposition : Le Pen, Wauquiez, Mélenchon, Sarkozy, Hollande, royale sont completement décribilisé

Les syndicats aussi : tout leurs dirigeants ont obtenus de bons postes bien payés en contrepartie de leurs traitrises...

Il y a plus que Macron et l' Oligarchie derrière face au peuple

sans rien entre les 2 : ca va mal se terminer !

L' Oligarchie va rien lacher !

La manif gilets jaunes, j'adhère.
Mais il y a un temps pour tout et il faut embrayer sur autre chose.

Les gilets jaunes et les autres sont sur le même bateau et ce n'est pas en se polluant les uns les autres que cela va créer de l'unité.
Il faut donc, maintenant que le coup a été marqué et que la révolte populaire a pris forme, passer à d'autres formes d'actions.

Par exemple: Opération ceinture.
Montrer que nous ne sommes pas que des consommateurs payeurs.
Les consuméristes font des soldes pour faire consommer, de l'obsolescence programmée, …

Et bien faisons une opération nationale de NON CONSOMMATION sur quelques jours.
Au lieu d'aller faire nos courses dans les supermarchés, installons nous sur les parkings et laissons reposer les caisses et autres lecteurs cartes bleues.
Réduire à zéro notre consommation du moment serait le signe que, non, on ne marche plus dans la combine.

Nous ne sommes pas que des consommateurs et il y a une vie dans qui on est et pas seulement dans ce que l'on possède.

C'est une démarche écologique.
La consommation crée la pollution, que ce soit pour produire, transporter, traiter les déchets.

Imaginons une semaine sans sortir sa carte bleue, une fois le strict minimum dépensé à l'avance pour assurer de quoi tenir cette semaine.

Imaginons que cela se passe la semaine de Noël…
Si vraiment, nous sommes convaincu que les choses vont mal et qu'il faut changer en ргоfопԁеur notre façon d'exister, c'est un truc à faire.

Si nous n'en sommes pas prêt, cela veut juste dire que nous sommes schizophrènes, voulant à la fois consommer, polluer et râlant en même temps au sujet d'un environnement empoisonné mais qui nous empoisonne pour nous satisfaire…

Faire de Noël une occasion de reposer les pieds sur terre, ce serait un beau miracle de Noël !
Mais je ne crois guère aux miracles; on va continuer à considérer notre pouvoir d'achat comme le seul élément d'appréciation de notre bonheur perso.

En vertu de cela, on fera n'importe quoi pour pouvoir en croquer, et tant pis si, dans le même temps, on scie la branche sur laquelle on est assis.

La révolte des gilets jaunes n'est que cela, finalement: Laisse moi un peu de sous pour que j'ai le sentiment d'exister.
Elle met en évidence qu'il n'y a que cela qui compte.

Quand réalisera t'on donc que l'on est pas plus heureux avec Cinquante mètres carrés de plus dans sa maison ou un écran plat plus grand que celui de son voisin ?.

Voila la victoire d'une classe moyenne qui accède à cela pendant que d'autres rêvent d'être à leur place alors qu'ils louent leur appartement.

D'autres, encore plus mal lotis n'ont pas d'appartements…
Mais tout cela, c'est pas grave si MOI, je m'en sors.

Et voila, le piège se referme.
L’intérêt collectif et une forme de partage qui ferait que je ne peux être heureux que si d'autres ont le minimum correct devient notion incohérente à MON propre bonheur perso.

Je vais donc accepter de gagner sur les autres pour vivre, avec une aisance qui sera le produit de leur dénuement.

C'est ce que font nos grand patrons, nos politiques, nos grands commerçant,…
Et nous mêmes, que faisons nous
N'acceptons nous pas ce deal quand il fait que nous en sortons mieux que d'autres

Bref, pour finir avec ce délire nocturne, ce ne sont pas des taxes qu'il faut supprimer, des payes à augmenter mais une vision de notre société qu'il faut revoir complètement.

Tant que nous vivrons pour le fric et que nous considérerons que c'est l'étalon de ce que nous sommes au lieu qu'il ne soit qu'un outil de fonctionnement économique, nous continuerons à aller dans le mur.

Je pense que c'est ce qui va se passer puisque nous vivons comme des juпкіеs qui devons avoir notre dose chaque jours…

Si nous voulons vraiment nous en sortir, faut bien comprendre qu'il va falloir passer en désintox, qu'on va en baver.
Mais, au bout, il y aurait une société où chacun aurait sa place, qui accepterai une amélioration de son train de vie que si les autres avaient déjà ce qu'il leur faut et où la solidarité ne serait pas pour faire en sorte de donner à ceux qui manquent mais de les aider à avoir parce que, comme pour les autres, on parle d'être humains qui ont le droit de vivre dans la dignité.

Mais je dois écrire en dormant car cela ressemble beaucoup à un rêve qui disparaît dès qu'on ouvre les yeux…

En réponse au message de parfum-de-femme :

La manif gilets jaunes, j'adhère.
Mais il y a un temps pour tout et il faut embrayer sur autre chose.

Les gilets jaunes et les autres sont sur le même bateau et ce n'est pas en se polluant les uns les autres que cela va créer de l'unité.
Il faut donc, maintenant que le coup a été marqué et que la révolte populaire a pris forme, passer à d'autres formes d'actions.

Par exemple: Opération ceinture.
Montrer que nous ne sommes pas que des consommateurs payeurs.
Les consuméristes font des soldes pour faire consommer, de l'obsolescence programmée, …

Et bien faisons une opération nationale de NON CONSOMMATION sur quelques jours.
Au lieu d'aller faire nos courses dans les supermarchés, installons nous sur les parkings et laissons reposer les caisses et autres lecteurs cartes bleues.
Réduire à zéro notre consommation du moment serait le signe que, non, on ne marche plus dans la combine.

Nous ne sommes pas que des consommateurs et il y a une vie dans qui on est et pas seulement dans ce que l'on possède.

C'est une démarche écologique.
La consommation crée la pollution, que ce soit pour produire, transporter, traiter les déchets.

Imaginons une semaine sans sortir sa carte bleue, une fois le strict minimum dépensé à l'avance pour assurer de quoi tenir cette semaine.

Imaginons que cela se passe la semaine de Noël…
Si vraiment, nous sommes convaincu que les choses vont mal et qu'il faut changer en ргоfопԁеur notre façon d'exister, c'est un truc à faire.

Si nous n'en sommes pas prêt, cela veut juste dire que nous sommes schizophrènes, voulant à la fois consommer, polluer et râlant en même temps au sujet d'un environnement empoisonné mais qui nous empoisonne pour nous satisfaire…

Faire de Noël une occasion de reposer les pieds sur terre, ce serait un beau miracle de Noël !
Mais je ne crois guère aux miracles; on va continuer à considérer notre pouvoir d'achat comme le seul élément d'appréciation de notre bonheur perso.

En vertu de cela, on fera n'importe quoi pour pouvoir en croquer, et tant pis si, dans le même temps, on scie la branche sur laquelle on est assis.

La révolte des gilets jaunes n'est que cela, finalement: Laisse moi un peu de sous pour que j'ai le sentiment d'exister.
Elle met en évidence qu'il n'y a que cela qui compte.

Quand réalisera t'on donc que l'on est pas plus heureux avec Cinquante mètres carrés de plus dans sa maison ou un écran plat plus grand que celui de son voisin ?.

Voila la victoire d'une classe moyenne qui accède à cela pendant que d'autres rêvent d'être à leur place alors qu'ils louent leur appartement.

D'autres, encore plus mal lotis n'ont pas d'appartements…
Mais tout cela, c'est pas grave si MOI, je m'en sors.

Et voila, le piège se referme.
L’intérêt collectif et une forme de partage qui ferait que je ne peux être heureux que si d'autres ont le minimum correct devient notion incohérente à MON propre bonheur perso.

Je vais donc accepter de gagner sur les autres pour vivre, avec une aisance qui sera le produit de leur dénuement.

C'est ce que font nos grand patrons, nos politiques, nos grands commerçant,…
Et nous mêmes, que faisons nous
N'acceptons nous pas ce deal quand il fait que nous en sortons mieux que d'autres

Bref, pour finir avec ce délire nocturne, ce ne sont pas des taxes qu'il faut supprimer, des payes à augmenter mais une vision de notre société qu'il faut revoir complètement.

Tant que nous vivrons pour le fric et que nous considérerons que c'est l'étalon de ce que nous sommes au lieu qu'il ne soit qu'un outil de fonctionnement économique, nous continuerons à aller dans le mur.

Je pense que c'est ce qui va se passer puisque nous vivons comme des juпкіеs qui devons avoir notre dose chaque jours…

Si nous voulons vraiment nous en sortir, faut bien comprendre qu'il va falloir passer en désintox, qu'on va en baver.
Mais, au bout, il y aurait une société où chacun aurait sa place, qui accepterai une amélioration de son train de vie que si les autres avaient déjà ce qu'il leur faut et où la solidarité ne serait pas pour faire en sorte de donner à ceux qui manquent mais de les aider à avoir parce que, comme pour les autres, on parle d'être humains qui ont le droit de vivre dans la dignité.

Mais je dois écrire en dormant car cela ressemble beaucoup à un rêve qui disparaît dès qu'on ouvre les yeux…

T'es paroles nocturnes sont ргоfопԁément belles...

En réponse au message de edgar66 :


T'es paroles nocturnes sont ргоfопԁément belles...

Mais sont très loin de concerner tout le monde ... de la corde

Tu te trompe, textoo.

C'est un constat universel que je pose, tout simplement de par son caractère humain et qui concerne donc, par définition, chacun de nous et, y compris, ma pomme.

Nous sommes juste dans une saveur plus "civilisée" du truc.
Sinon, tu as des gens qui prennent possession d'un endroit, font des petits, augmentent en nombres, assurent leur sécurité et leur pouvoir sur un environnement qui doit leur procurer leur subsistance.
Depuis qu'il y a quelqu'un sur terre, c'est comme cela que cela se passe; dans le règne animal, itou.

Maintenant, tu prends les mêmes gens, tu les mets en position de concurrence, tu réduits la ressource, tu augmente sans discernement la population; qu'est-ce qui se passe

C'est cela qu'il faut fondamentalement changer et cela passe par chacun de nous; personne ne peut prétendre n'être pas comme cela puisque, si nous existons encore, c'est par victoire, souvent par ko, sur moins fort, plus vieux, plus jeune, en moins bonne santé, plus pauvre, … que soi.

Ce constat n'est pas agréable mais on ne peut régler les problème sans lucidité…