Et si nous écoutions Tina Turner ? (page 3) - Musique & cinéma

Franchement Tina Turner n'arrive pas à la cheville de ... qui vous savez !

Evidemment, Tina T est tellement au dessus de... qui vous savez !

Merci Climax de nous remémorer de belles et vraies valeurs ! La vraie classe internationale qui perdure...

Oh oui la classe...

Tina T. : one point
L'autre... celle que vous savez : no point

A suivre...

Hervé22, est-ce que
tu as d'autres souvenirs
de premières versions
qui t'ont marqué ?

Climax , ce sont les premieres versions qui ont marqué mes 16 ans
avais trouvé envoutant l'écoute de T TURNER ce qui ma surpris c'et que dernierement j ai rencontre la vепԁеusе qui c 'est souvenue avoir tout fait pour me permettre d'acheter ces 2 vinyls ,bon elle a + de 70 ans , mais cela l'avais marquée ! faut resituer l'époque aussi 1966

Franchement Tina Turner n'arrive pas à la cheville de ... qui vous savez !

Evidemment, Tina T est tellement au dessus de... qui vous savez !

Merci Climax de nous remémorer de belles et vraies valeurs ! La vraie classe internationale qui perdure...

Jiminy, je ne cacherai pas que
ce qui m'a déterminé pour ce sujet
ce sont les propos amphigouriques,
superlatifs, excessifs, religieux, délirants
de Yoomy et de Ikki,
dans la rubrique
"Religions et autres croyances" (sic),
à propos de La Toya Jackson,
dont, au cours du sujet de nos deux larrons,
nous aurons eu en tout et pour tout
deux pauvres vidéos, pour preuve
de son talent prétendument
incommensurable ; alors
j'ai voulu m'assurer
que l'écoute de Tina Turner
(que j'admire, que j'écoute avec рlаіsіг)
n'était pas exécrable, et que son œuvre
d'artiste ne se réduisait pas à deux vidéos ;
je constate un blues de bonne qualité,
très audible, que je ne diviniserai pas
(ce n'est pas le chant des sphères platonicien) ;
Tina Turner chante bien,
elle ne se fait pas décolorer la peau,
elle a soixante-dix ans révolus
(on sait son âge à elle, au moins),
elle poursuit son chemin, et - je me répète -
ça, c'est du blues de la meilleure veine,
c'est-à-dire du blues/rock !!!

Hervé22, est-ce que
tu as d'autres souvenirs
de premières versions
qui t'ont marqué ?

Climax , ce sont les premieres versions qui ont marqué mes 16 ans
avais trouvé envoutant l'écoute de T TURNER ce qui ma surpris c'et que dernierement j ai rencontre la vепԁеusе qui c 'est souvenue avoir tout fait pour me permettre d'acheter ces 2 vinyls ,bon elle a + de 70 ans , mais cela l'avais marquée ! faut resituer l'époque aussi 1966

Hervé, c'est émouvant que cette vепԁеusе
se souvienne de tous ses stratagèmes,
pour te permettre d'acheter ces deux disques
(peut-être manquais-tu d'argent à ce moment ?) ;
en tout cas, c'est un souvenir commun qui marque
combien on ne débitait pas Tina Turner comme,
chez les épiciers, on débite les petits pois et
les carottes, et autres primeurs !!!

Donc, le souvenir d'une époque et d'une atmosphère,
avec cette mémoire plus particulière de l'achat
de deux vinyles.

Sincèrement,

Tongaysiens
et Tongaysiennes,

Je voulais m'assurer
qu'une dame que je n'écoute
pas tous les jours,
et qui ne hante ni mes nuits
ni mes autels domestiques,
ni les églises que je ne fréquente pas,
malgré sa célébrité pouvait être
autre chose qu'une construction artificielle,

eh bien je constate une vraie présence,
une authenticité chez Tina Turner,
de la passion à chanter, du rythme,
un beau rire de gorge et un sourire,
une humanité
qui ne se prend pas pour une divinité ;

je constate de nombreuses
vidéos, plaisantes, audibles ;
et - c'est une pierre de touche
pour une Noire dans un pays
qui est, malheureusement,
encore raciste -
elle ne se fait pas
décolorer la peau,
elle ne se fait pas retendre
le visage jusqu'à la caricature,
Tina Turner n'est pas de la même
fabrique que La Toya Jackson.

Que vous appréciez
aussi La Toya Jackson
à la fin importe peu,
ce n'est pas un crime
de lèse-majesté,
ce n'est pas un péché
que vous commettriez
contre une divinité
(Tina Turner ne laisse
se développer aucun culte
autour de sa personnalité,
et, que je sache, s'il existe
effectivement une "Church
of La Toya Jackson",
appellation très idolâtre
de son groupe de "fans",
appellation qui n'est pas anodine
dans un pays aussi marqué
par les croyances religieuses
que les États Unis d'Amérique,
"church"signifiant "église",
il n'y a pas, grâce au ciel,
et grâce soit rendue à Tina Turner,
de "Church of Tina Turner") :

que vous ayez du рlаіsіг
à écouter Tina Turner,
voilà qui importe davantage !


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"I DON'T WANNA LOSE YOU"


Encore une belle chanson :
un rythme bien syncopé ;
une voix qui ne force pas
son amplitude naturelle ;
délicieusement afro-américain,
délicieusement blues/rock ;
prononciation nuancée de "to lose" ;
beau saxophone, des batteries
qui ne forcent pas pour étourdir
et cacher les éventuelles faiblesses
d'une voix, un ensemble qui SE TIENT ;
les reprises de la fin ne cassent pas
les oreilles, et la chanson vient
doucement jusqu'à son terme.

Pour conclure momentanément,
voici deux chansons en duo.


(Je crois que Tina Turner va
me faire goûter la manière
de prononcer l'anglais aux États-Unis
d'Amérique (du Nord) ; elle met une
une telle énergie dans tout ce qu'elle
nous chante, c'est torrentiel,
cela emporte la conviction,
et cela me fait sourire :
cette femme donne de la joie).


Avec Elton John



Avec Paul McCartney



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Et Janis Joplin (faudra-t-il démontrer à des incrédules que cette femme n'était pas, quand bien même elle a succombé à une surdose de ԁгоguе, une chanteuse décérébrée, dépourvue de sensibilité, et de grandeur dans son déchirement іпtіmе, et qu'elle avait le sens du blues, au zénith ?), Janis Joplin, interrogée par des journalistes, qui semblent descendre de la lune, tellement leur interlocutrice les interloque et les embarrasse : elle affirme son admiration pour Tina Turner.









"That's
all
folks"
comme
disent
les
dessins
animés !