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Euthanasie pour ou contre (page 9) - Politique & Droits des homosexuels

Sujet de discussion : Euthanasie pour ou contre
  • slim57 Membre élite
    slim57
    • 20 septembre 2015 à 11:53
    Je vois mais il ne faut plus lui faire de misères !!
  • r.thranduil Membre pionnier
    r.thranduil
    • 20 septembre 2015 à 11:55
    Non :) je le garde précieusement mon petit singe car pleins de souvenirs.
  • slim57 Membre élite
    slim57
    • 20 septembre 2015 à 11:56
    C 'est bien se que je pensais !!
  • medievale Membre élite
    medievale
    • 20 septembre 2015 à 12:38
    Je vais reprendre la parole sur un vrai sujet.


    D'abord je vais faire l'analyse des réponses données par une majorité de participants ; des brêves de comptoir débitées comme des âneries plus grosses les unes que les autres.
    Le summun allant à

    " tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir"

    " et si on trouvait un reméde le lendemain"

    franchement vous me faites vomir devant tant de conneries, et merci à la seule femme qui soit intervenue pour faire un peu remonter le niveau.
    Peu d'intervenants ont donné de vrais arguments Merci mafioso pour tes propos.

    Par contre, on reparle de telle affaire médiatique, pitoyable de voir à quel point vous êtes des moutons qui suivent le troupeau, j'en irai presque à avoir de la sympathie pour les propos de Cory face à la banalité édifiante de vos participations.


    Maintenant je vais vous dire mon avis sur le sujet de l'euthanasie.

    Je suis pour
    - pour mes proches et je l'ai déjà fait avec le consentement de la médecine pour ma grand mère : elle était consciente mais branchée à une machine pour respirer : dès que j'ai pu la voir après qu'il lui ai mis cette machine, elle m'a fait non de la main, je l'ai dit au médecin et en moins de 5 minutes lui, ma grand mère et ses enfants ont pris la décision de débrancher la machine sachant qu'elle mourrait dans la journée.
    Pas de souffrance inutile, d'acharnement et un départ voulu.

    Pour ma mère, une petite overdose de morphine comme dans de nombreux cas de cancer en phase terminale, et un départ douloureux, pour elle dans les affres de la douleur insoutenable et des délires causés par la morphine.
    Ce n'est pas un acte criminel mais souvent la douleur associée à l'épuisement du corps face à la maladie font que la morphine administrée est trop forte pour le corps épuisé qui s'éteint.

    Alors arrêtez de croire avoir la science infuse alors que la médecine hospitalière française fait de son mieux pour apporter le confort le plus acceptable aux personnes en fin de vie et que l'acharnement médicale n'est pas leur fait mais celui des proches.

    Pour ce qui est de mon propre départ, des dispositions ont déjà été prises avec mes frères et ma soeur.
    La maladie de sang dont je souffre peut soit me tuer en un claquement de ԁоіgt : caillot de sang dans le cerveau, dans le coeur ou dans les poumons, soit au contraire les médecins arrivent à me récupérer, ils l'ont déjà fait une fois, sans problème.
    Mais s'ils me récupèrent trop tard et que les séquelles sont trop importants, en un mot légume, le pire serait un cerveau qui fonctionne dans un corps mort, un de mes frères à une procuration signé de moi refusant tout acharnement. La décision en tant que plus proche parent sera entre leur main et je sais que je peux compter sur eux.

    Alors avant de parler de suicide comme solution, de guérison miracle ou autre fadaise, allez dans un hôpital en soins palliatifs, en France on n'oblige personne à mourir dans des conditions dégradantes d'acharnement thérapeutique hors de la pression des proches.
  • ji13 Membre élite
    ji13
    • 20 septembre 2015 à 13:00
    Médieval se que tu a fait spl un crime
  • slim57 Membre élite
    slim57
    • 20 septembre 2015 à 13:09
    Médievale merci de ton franc parlé et de ta sincérité moi aussi j'ai connu des moments douloureux j'ai perdu trois soeurs la première venait tout juste d'avoir vingt ans et j'aurais donner mon ame pour quelle ne souffre plus mais a cette époque je n'étais pas majeur mes deux autres soeurs sont aussi parties en état de souffrance je n'ai rien put faire car le reste de ma famille s'y opposer donc prendre ses dispositions est la meilleure des solution !
  • greenary2 Membre élite
    greenary2
    • 20 septembre 2015 à 13:12
    Salut Slim:)

    je suis contre l'acharnement thérapeutique inutile, donc dans ces cas extrêmes, je suis pour l'euthanasie à condition que cela soit sévèrement encadré.

    Dans mon pays, l'euthanasie est permise depuis 2002, et depuis 3 ans l'euthanasie des mineurs est acceptée par la loi aussi.
    Mais attention; on sent déjà quelques dérives; dans les cliпіԛuеs et maisons gériâtriques, on incite beaucoup les vieux à signer les autorisations d'euthanasies les concernant!...çà fait des économies de soins et des places dans les hôpitaux...
  • ji13 Membre élite
    ji13
    • 20 septembre 2015 à 13:13
    Merci Gree c est pour sa que je suis contre
  • slim57 Membre élite
    slim57
    • 20 septembre 2015 à 13:15
    Oui tu n'as pas tort c'est pour ça qu'il faut trouver une solution solide et humaine pour cette situation !!
  • medievale Membre élite
    medievale
    • 20 septembre 2015 à 13:16
    En réponse au message de ji13 :

    Médieval se que tu a fait spl un crime

    T'es vraiment incroyable, ton angélisme face à la fin de vie est purement pathétique, à croire que tu n'as jamais du regarder des proches en fin de vie.
    Quand une personne de 91 ans voit ses fonctions vitales disparaître au point d'être branchée à une machine pour respirer car ses poumons se sont éteints et que le médecin en personne précise à la famille que la machine ne lui donnera que trois jours de plus, consciente d'être emprisonnée dans des tubes, cette dernière fait un non de la main à chacun de ses enfants et sa petite-fille présente, face à cette situation, nous avons juste respecté son désir de partir dignement et sans souffrance inutile, alors non ce n'est pas un crime, mais une preuve 'amour.

    J'ai passé les quatre derniers jours et nuits au chevet de ma mère mourante en soins palliatifs, ma main dans la sienne le plus souvent possible alors qu'elle délirait sous les effets secondaires de la morphine, lui parlant pour la rassurer, lui faire comprendre qu'elle n'était pas seule alors qu'elle avait accepté la mort avec une sérénité et une conscience admirable, rien que le contact avec sa peau me distillait sa souffrance physique, mais jamais je ne l'aurais laissée seule au moment fatidique, par respect pour tout ce qu'elle m'avait donné, c'est de l'amour.

    Que tu puisses m'accuser de crime est purement abject de ta part, et prouve à quel point tu ne connais rien à la mort et aux souffrances endurées par certaines personnes ayant des maladies incurables.

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