Et vous, avez-vous l'impression que l'on a voulu vous faire faire le garçon à tous prix, et avec une certaine incompréhension, de votre part, envers ce monde là dans lequel vous vous sentiez étranger?
Comme souvent dans le forum on pose une question en évitant d'y répondre soit-même, je déroge, oui, depuis ma tendre enfance je me sentais peu concerné par, faire le garçon, avec pourtant bien conscience d'entre être bien un, et ça ne posait pas de problème,c'était ce que l'on voulait que je sois comme garçon qui m'indisposait.
Aujourd'hui encore je ne comprends pas ce cloisonnement identitaire sехué.
vinsang
Membre suprême
27 août 2017 à 17:09
Je ne me suis jamais senti "viril" ni "macho" et je ne me suis jamais forcé à l'être. Je me sens pleinement garçon, évidemment.
Cela dit, j'ai une sorte d'епvіе de pulsion - je ne sais pas trop comment l'exprimer - à vouloir à tout prix montrer qu'un homo ou un couple homo sont virils. C'est sans doute une епvіе plus ou moins consciente de vouloir casser des idées reçues. Mais je reconnais que c'est un peu bête de ma part.
jacques3223
Membre élite
27 août 2017 à 17:13
En réponse au message de vinsang :
Je ne me suis jamais senti "viril" ni "macho" et je ne me suis jamais forcé à l'être. Je me sens pleinement garçon, évidemment.
Cela dit, j'ai une sorte d'епvіе de pulsion - je ne sais pas trop comment l'exprimer - à vouloir à tout prix montrer qu'un homo ou un couple homo sont virils. C'est sans doute une епvіе plus ou moins consciente de vouloir casser des idées reçues. Mais je reconnais que c'est un peu bête de ma part.
Je ne pense pas qu'être un garçon et faire le garçon, tel que les dogmes sociaux l'entendent, soit comparables, de plus la virilité n'a rien à voir la dedans, on peut être parfaitement viril et accepter de pleurer par exemple, ou d'aimer les beaux tissus, aimer coudre ou repasser, etc
vinsang
Membre suprême
27 août 2017 à 17:16
En réponse au message de jacques3223 :
Je ne pense pas qu'être un garçon et faire le garçon, tel que les dogmes sociaux l'entendent, soit comparables, de plus la virilité n'a rien à voir la dedans, on peut être parfaitement viril et accepter de pleurer par exemple, ou d'aimer les beaux tissus, aimer coudre ou repasser, etc
Tout à fait. Et l'on peut être viril et gay ; c'est ce que je voulais écrire.
jacques3223
Membre élite
27 août 2017 à 17:19
Tout à fait. Et l'on peut être viril et gay ; c'est ce que je voulais écrire.
en fait j'avais un peu senti ça dans ton écrit, vinseng, c'est pourquoi j'ai ainsi répondu.
vinsang
Membre suprême
27 août 2017 à 17:21
En réponse au message de jacques3223 :
Tout à fait. Et l'on peut être viril et gay ; c'est ce que je voulais écrire.
en fait j'avais un peu senti ça dans ton écrit, vinseng, c'est pourquoi j'ai ainsi répondu.
Ah bon d'accord^^ Je pensais que je m'étais mal exprimé, sachant que je savais pas moi-même très bien ce que je voulais dire !
jacques3223
Membre élite
27 août 2017 à 17:23
Ah bon d'accord^^ Je pensais que je m'étais mal exprimé, sachant que je savais pas moi-même très bien ce que je voulais dire !
ever
Membre élite
27 août 2017 à 18:08
En réponse au message de jacques3223 :
Ah bon d'accord^^ Je pensais que je m'étais mal exprimé, sachant que je savais pas moi-même très bien ce que je voulais dire !
ça c'est trop fort lol
palledon
Membre élite
27 août 2017 à 18:43
Le matraquage publicitaire y étant pour beaucoup Le petit garçon joue avec des petites voitures, des petits outils et des robots et aime le bleu La petite fille joue avec des poupées, se maquille et aime le rose C est comme cela depuis des décennies Si le petit garçon commence à aimer d habiller des poupées cela devient " préoccupant" pour la majorité des parents Je trouve cela consternant On est conditionné dès le plus jeune âge Mais on ne peut lutter contre notre propre nature Je pense avoir été un bon petit garçon et aujourd'hui je suis une bonne petite fiote dixit mon paternel
jacques3223
Membre élite
27 août 2017 à 18:45
Je pense avoir été un bon petit garçon et aujourd'hui je suis une bonne petite fiote dixit mon paternel
témoignage hélas si fréquent et qui laisse des blessures même si elles sont parfois bien planquées.