En réponse au message de spikeman :
On aurait déjà du s'occuper de lui (pas le mettre au fond d'un puits ou l'écorcher vif en place publique).
Et bien en voila un bon candidat au fanatisme…
Il ne te reste plus qu'à te couper le bout du sob, si ce n'est déjà fait, te faire pousser les poils et t'user le front sur un tapis tourné vers l'est (pour la forme parce que la religion est juste un emballage et pas la raison) et tu leur ressemblera comme deux gouttes d'eau !
Parce que, coté mentalité, je suis au regret de te dire que, toi et eux, c'est kif-kif.
Sinon, on vit dans un monde dangereux, il serait peut-être temps de s'en rendre compte.
On est jamais à l'abris de se prendre quelqu'un dans les dents sur la route, jamais à l'abris du sida quand on batifolle, jamais à l'abris d'un accident domestique ou du crabe qui tourne autour de nous, histoire de nous faire visiter les services d'oncologie.
Le "terrorisme" étant un des dangers, d'ailleurs pas récent dans l'histoire humaine.
À noter que le terrorisme est aussi une question de point de vue, les resistants dont était mon grand-père étant des terroristes aux yeux des occupants de l'époque.
Les types qui luttaient pour l'indépendance de l'Algérie étaient aussi des terroristes que la France s'est permise de bousiller en nombre il y a un demi-siècle sur un territoire qu'elle avait volé et sans être un guerre avec l'ennemie…
Dans l'histoire à peine plus ancienne, la France (et le perfide Albion se sont permit d'inonder la chine avec l'opium de l'Inde, elle même conquise, histoire d'arranger sa ballance commerciale et ce, avec les deux guerre dites de l'opium qu'elle a menée.
On pourrait continuer sans fin mais l'idée centrale est que l'on a pas de leçon de morale à donner à qui que ce soit.
La politique est sale et tuer des gens est dégueulasse, que ce soit dans le cadre d'une guerre officielle ou de guérilla ou terrorisme.
Pensez vous sérieusement que les Afgans, les Syriens, les soudannais et j'en passe soient rassurés en se disant que leurs enfants sont mort grace à de vraies guerres
Alors oui, c'est dégueulasse de se faire descendre comme un lapin dans un supermarché.
Oui, c'est une bonne chose que l'auteur se soit fait descendre.
Oui, cela aurait été très bien de l'arrêter avant qu'il tue des innocents.
Mais cela ne doit pas non plus nous voiler la face sur la réalité d'un monde où il y a des relations de causes à effets et où le désespoir ou la rage des certains et leur sentiment de ne plus rien avoir à perdre peut avoir des raisons d'exister.
Je ne cherche pas à les défendre ni à les justifier mais, tant que l'on ne regarde pas les réalités en face, aucune réponse viable n'est possible.
La réalité, c'est que l'on paye une politique étrangère avide, délinquante et meurtrière.
La réalité, c'est que l'état de droit n'existe plus en France et que la République a faillit, que ce soit pour acceuillir en sont temps correctement et dignement une population qu'on est allé cherché après les avoir colonisé.
Mais aussi en ne se donnant pas les moyens d'assimiler ces gens selon ce qui fait l'identité française.
La France a, de tout temps, assimilé des gens venus d'ailleurs et cela a plutôt bien fonctionné.
Le truc s'est mis à déconné quand on a permis à des gens de venir sans la mixité et le mélange des populations qui va de pair avec l'intégration.
C'est là que, même dans un pays laique, il convient de poser la question de la religion, non pas d'un point de vue qualitatif mais en tant que facilité ou difficulté d'intégration.
Une religion qui interdit les mariages interconfessionnels ne devrait pas être admise sur notre territoire, quelque soit la religion en question.
Un pays laique doit s'occuper des religions sinon on cesse d'être un peuple et une nation.
On cesse d'être solidaire les uns des autres.
On crée sur notre sol des fabriques de gens qu'on aurait tord de considérer comme cinglés au motif qu'ils font des trucs de fous.
Parmi eux, ils y a des gens qui hurlent contre l'injustice, contre le malheur, contre le deuil, contre le désespoir… comme quelques uns sur cette discussion qui envisagent des réponses folles aux folies qu'ils constatent.
Alors, si on pouvait réflechir un peu plus avant de se mettre à leur ressembler…