Sai-sir-cet-ins-tant-où-ton sou-rir-(e)an-gé-liqu(e) Ce qui, selon le prononciation classique, et les règles de versification classique, donne douze syllabes : nous avons donc là un alexandrin.
Bon Climax a tranché et accepté tes vers, je m'incline.
yoomy
Membre suprême
28 mai 2015 à 19:28
Je ne fais vraiment pas autorité mais je ne suis pas d'accord sur le deuxième "e".
draconis
Légende urbaine
28 mai 2015 à 19:29
Moi non plus, mais bon, n'étant pas littéraire à la base, je me garderai par principe de donner des leçons à ceux qui le sont :)
sergeclimax69007
Membre suprême
28 mai 2015 à 19:38
Vous savez, les règles classiques de la versification sont un arbitraire, choisi, qui fait loi.
sergeclimax69007
Membre suprême
28 mai 2015 à 19:40
En réponse au message de rebel_heart :
Je ne fais vraiment pas autorité mais je ne suis pas d'accord sur le deuxième "e".
Mais, Rebel Heart, quel deuxième "e" ? Dans quel vers ?
sergeclimax69007
Membre suprême
28 mai 2015 à 19:42
L'on compte non des syllabes de mots, mais des syllabes telles qu'elle sont prononcées selon les règles classique de la versification française.
sergeclimax69007
Membre suprême
28 mai 2015 à 19:48
Sai / sir / cet / ins / tant / où / ton / sou / rir(e) / an / gé / liqu(e)
Décidément, douze syllabes prononcées selon la versification dite classique.
yoomy
Membre suprême
28 mai 2015 à 19:54
MeGaL0L calme-toi Clixam! Tu frises le FLOOD là!
sergeclimax69007
Membre suprême
28 mai 2015 à 19:54
Va / po / reus(e) / ell(e) / est / u / ne / fleur / de / po / é / si(e)
Douze syllabes prononcées : c'est un alexandrin. Aussi. Et la ponctuation ne fait rien à l'affaire ! Tout au plus règle-t-elle la vitesse du débit, et les pauses.
adrenalinea
Membre élite
28 mai 2015 à 20:36
Climax :
Merci beaucoup pour tes lumières, les miennes n'avaient pas suffit à calmer l'aveugle meute
Cette petite joute verbale a le mérite d'avoir animé cette superbe poésie Elle aura appris qlqchose à nos amis perturbateurs
A propos desquels je me demande si c'est naturel ou s'ils sont payés pour faire chier le monde