Sujet de discussion : Frederic Lerner Le Violon Pleure
visiteur
Membre occasionnel
26 avril 2014 à 18:14
Pour ne pas oublier mes frères cette période tragique.... C'était des sœurs et frères comme nous....,n'oublions jamais!!
jeans91
Membre occasionnel
26 avril 2014 à 23:22
Shalom ....merci de ce partage qui nous rappelle que nous ne devons jamais oublier ce qui n'aurait jamais du exister.
Superbe chanson du talentueux auteur- compositeur Frédéric Lerner .
draconis
Légende urbaine
27 avril 2014 à 13:21
Nous n'oublierons pas camarade ! Oups c'est vrai tu as changé de registre :p
peter_pan
Membre émérite
27 avril 2014 à 13:31
Bonjour visiteur et méme si le bois vieillit une tristteste reste en mémoire c'est bien vrai très belle vidéo
draconis
Légende urbaine
27 avril 2014 à 13:54
Disons camarade, que le pseudo peut changer, le style lui ne trompe pas.
slough-i-will
Membre pionnier
27 avril 2014 à 15:41
Effectivement en cette journée du souvenir des Héros et des Victimes de la déportation, n'oublions jamais afin que l'horreur ne se reproduise pas.
cactus_sss
Membre suprême
27 avril 2014 à 18:32
Soyez rassurés, on nous en rebat tellement les oreilles qu'on n'est pas près d'oublier !
draconis
Légende urbaine
27 avril 2014 à 18:39
Exact, je boycotte même la chaîne Histoire, car vraisemblablement pour elle, l'histoire se limite à la période 39-45, on en a bouffé jusqu'à la nausée, au point par pur esprit de contradiction ou de rebellion de commencer à douter de la véracité de ce que l'on nous présente comme incontestable. Ce matraquage permanent contribue quelque part à former de nouveaux révisionnistes.
akio
Membre élite
27 avril 2014 à 20:05
Soyez rassurés, on nous en rebat tellement les oreilles qu'on n'est pas près d'oublier !
Clairement. Je respecte les sacrifiés de l'époque, mais j'ai la désagréable impression d'en entendre parler perpétuellement...
yoomy
Membre suprême
27 avril 2014 à 20:07
Soyez rassurés, on nous en rebat tellement les oreilles qu'on n'est pas près d'oublier !
Clairement. Je respecte les sacrifiés de l'époque, mais j'ai la désagréable impression d'en entendre parler perpétuellement...