certaines ne s'embêtent pas de préliminaires, je ne compte plus les rentre dedans violents.
Merci William31 pour le thème.
Par rapport à mon ехрéгіепсе (qui vaut ce qu'elle vaut, ce n'est qu'un exemple), je puis dire que beaucoup de mes relations amoureuses ont émané d'aventures qui, au départ, étaient envisagées sans lendemain, et je puis te dire qu'une a même duré 10 ans.
Après, je ne sais pas si on peut dire: les hommes sont comme ça, et les femmes comme ça, même si c'est vrai que la plupart, mais pas tous, des hommes que j'ai connus avaient effectivement une capacité de compréhension et de passage à l'acte assez immédiate (parfois, pas besoin de "bonjour Jean-Paul", un regard suffit), alors que les femmes que j'ai connues étaient davantage dans l'intellectualisation, l'exigence, l'attente.
Alors, hasard des rencontres (mais on sait bien que souvent, il n'y a pas de hasard et que l'on attire les personnes dont on a "besoin"), traits propres au sехe, conséquences de siècles et de siècles de conditionnement?
En revanche, si je suis bien d'accord pour dire que "la consommation rapide" en matière de sехe et le sехe "consommé à outrance" relèvent souvent de la pathologie et de l'addiction, en revanche, je ne suis pas d'accord pour considérer une aventure sехuеllе "vite conclue" comme systématiquement du "rentre dedans violent".
Parfois le désir est là, pourquoi le nier, le renier, le refuser?
Et parfois, il peut donner lieu à de bien belles choses, touchantes, douces et sublimes, parce que justement dans l'instant.
Ce qui n'empêche pas les préliminaires.