Ce qui me fait tripper dans cette histoire, c'est que des prénom d'une origine non équivoque sont cités…
Les gens qui ont mon âge ont connu une telle pratique dans les journaux: Les fauteurs de trouble étaient nommés, que ce soit dans le cadre de la délinquance ou de la circulation, par exemple.
De nos jours et au motif que cela servirait certains partis ou certaines idéologies concidérées malsaines, on ne cite plus; d'où ma surprise en lisant cet article.
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On a pas le droit non plus de recencer la population carcérale pour en tirer des statistiques confessionnelles.
Pourtant, n'importe quel gardien de prison…
Cette hypocrisie est malsaine.
Mettre des systèmes de valeurs, les cultures, les religions face à leurs responsabilités me semble saint, quand bien même il y aurait des risques de récupération qui ne le seraient pas.
Mettre les politiques succéssives des banlieues face à leurs échecs cuisants en appelant un chat un chat serait aussi de bon aloi.
Je ne suis pas dans une revendication raciste.
Je suis juste dans une approche lucide de la vraie vie; la seule qui puisse nous faire appréhender les problèmatiques et trouver des solutions qui tiennent la route.
Solutions qui iraient dans le durcicement des rapports d'autorités de l'état vis à vis de certaines communautés tout en faisant les choses correctement pour qu'au sеіп de celles-ci, on donne vraiment les moyens d'y arriver à ceux qui veulent vivre paisiblement.
Vaste sujet qui semble insoluble quand on voit qu'on est même pas foutu d'interdire dans les faits le téléphone portable dans les prisons.
Si on arrive même pas à ça, le reste…
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