En réponse au message de tres-саlіп :
Quand la lune s'éveille en l'anthracite nuit
Ses paillettes d'argent frissonnent sur la plaine
Et des пuеs dévoilée au moment d'être pleine,
Son oeil de cyclope y promène son ennui...
Croit-elle en le silence, où dans l'ombre séduit
En susurrant le ru qui la vénère en reine,
Dont les flots miroitants lui serviraient de traîne,
Y trouver le respect envers l'astre conduit?
Mélodieusement en un trille sonore
Le chant du rossignol est le seul qui l'honore
De sa tendre musique: elle écoute, et se tait!...
En triomphant alors au milieu des étoiles
Qui l'admiraient bien sûr, seul, la mécontentait
Un piètre, obscur, nuage interposant ses voiles...
Salut Alain !
Je mets une connotation très sехuеllе à ton poème.
1ere strophe : il y a l'adjectif "pleine" qui veut dire rempli de sрегmе
2ème strophe : il y a le mot ru qui rappelle le bel etalon en rut monté sur sa tendre jument et la рéпètге pour la remplir.
3ème strophe : il y a le verbe honorer qui rappelle que le bel étalon accomplit son devoir auprès de sa tendre jument.
4ème strophe : il y a le mot étoile qui évoque un рlаіsіг intense partagé entre la tendre jument et son bel étalon.
Voilà Alain mon ressenti.
J'adore ce poème ! Des évocations on ne peut plus poétiques dignes de ceux de Serge Gainsbourg ("Annie aime les sucettes, des sucettes à l'anis" et "Des ptits tгоus, des ptits tгоus, encore des ptits tгоus...").
Bonne journée.
Bisous.