En réponse au message de toon :
Tu vas encore dire que je ne développe pas..... mais j'aime! Et comme je l'ai déjà dit aussi plusieurs fois, je retrouve l'éгоtіsmе de Genet. Je ne peux pas dire plus, je ne sais pas écrire.
Juste peut-être que j'arrive, à travers ton texte, à vivre par procuration ce moment. Un moment qu'il m'arrive de vivre très souvent mais que je n'aurais pas le talent d'écrire.
Mais, Toon, si je t'ai brutalisé par le passé, tu voudras bien me le pardonner : il est exact qu'à une époque j'ai vu une mаssе indistincte d'approbations & de condamnations, le trait commun étant le style lapidaire.
Toon, j'apprécie que tu apprécies ; Genet est un écrivain, lui, des plus libres, sa pièce "Les paravents" est un sommet de la satire politique et de l'éгоtіsmе, et un sommet d'invention scénique (j'en attends la traduction portugaise depuis un mois, on tarde à me l'envoyer, c'est pourquoi je te cause de ce texte particulier) ; ... le rapprochement est très flatteur.
Lors d'un moment de désert sепsuеl qui se poursuit, j'ai eu de la rage, et, compensatoire ou pas, il m'est venu ce texte, très peu corrigé, avec la volonté de ne pas corriger & ayant en tête la manière de Benjamin Péret, comme point idéal.
Voilà, Toon, c'est moi qui te remercie, et sois assuré que tes lignes ne me gonflent pas l'égo (à quoi ça sert, hein, le narcissisme de la suffisance, sinon à se stériliser soi-même et à se mettre en état d'homéostasie, pour n'en pas sortir), tes lignes me touchent vraiment.
Alors, si tu permets (et même si tu ne permets pas,
), je te fais de gros bisous ; c'est la méthode Climax pour remercier,