En réponse au message de sim.s-heart :
En réponse au message de stiky :
En fait, ça ne sert à rien de débattre.
Il a son avis, j'ai le mien.
Nous n'avons pas du tout le même point de vue pour parvenir au même but, ou plus ou moins au même but.
Je l'ai sans cesse dit que les méthodes ne sont pas les bonnes, qu'on ne peut pas TOUT avoir. Il faut faire des sacrifices mais ça, personne ne veut en faire. C'est tout le système qui ne va pas, tous les paliers...
C'est avant tous les commerçants qui ne veulent rien perdre
Ah bon ? Partons de ce postulat que tu tiens alors.
Un GJ veut plus d'argent. Cela signifie soit une augmentation des salaires, soit une baisse du coût de la vie. Une augmentation de salaire signifie une hausse des charges. Une baisse du coût de la vie signifie moins d'argent récolté (pour les travailleurs mais aussi pour l'état). Dans ce cas, il faut récupérer de l'argent quelque part ou en diminuer ailleurs. Or, les GJ souhaitent les deux ! Hausse des salaires et diminution du coût de la vie. Ce qui signifie une perte massive d'argent à tous les échelons et donc un pays qui va vers la banqueroute...
Allons plus loin. On va me dire : baissons les aides sociales, diminuons les salaires des hauts fonctionnaires, membres de l'état, etc. Revoyons le système financier des grosses entreprises. Certes... mais... arriveront-elles à satisfaire tout le monde ?
C'est tout autre chose qu'il faut attaquer. Le système financier doit être vu autrement. Employons des structures qui viseront à contrôler les aides. Cela crée de l'emploi et des revenus car combien de personnes vivent du système ?! Aidons nos artisans, agriculteurs, artistes etc. pour subvenir à leurs besoins, et pleins d'autres choses... Le but étant de se fermer des autres sans pour autant ne plus travailler avec l'étranger. Occupons-nous déjà de notre pays.
Là, je n'ai pas trop les idées claires pour développer mes propos mais reste sur le fait que je suis progressiste et qu'être progressiste est assez mal vu car un progressiste est vu comme une personne violente par ses idées.