En réponse au message de beauluke :
N'oublier pas que vous être de la génération du boom économique, n'importe qui, n'importe quand, n'importe ou, pouvait travailler sans aucune instruction, ma génération dont celle que vous être les protagoniste, à ouvert une autre culture, fini de vivre pour travailler il est juste le temps de travailler pour vivre, non les samedi,non les dimanche, Vous semblé oublier la principale valeur dans tous ca, la famille qui prend une place d'importance dans ma génération, fini les pères manquant en travaillant des heures et des heures à des salaires minables, regardé autour de vous, les hommes qui ont tous donné à cette société, ils crèvent tabarnak,et la société ne s'en souci pas un brin, je me calme, ça devait changer et le phénomène change, nous sommes dans une économie libre qui est régie par l'offre et la demande, et ma génération ici au québec du moins, profite de cette offre, un manque criant de travailleur, tranquillement les entreprises offres des salaires et conditions de travail, qui réuni la famille et le boulot au grand рlаіsіг des nouveaux diplômé, aussi le gouvernement veut mettre en place un incitatif pour les retraiter qui voudraient revenir en emploi, mais comme tous les gouvernement son dévoreur de taxe sur le revenu, je ne crois pas que nos bon vieille homme revienne, ils ont compris eux aussi comme les jeunes travailler pour rien ne donne rien.
Il y a du vrai dans ce que tu dis; sauf que, je le pensais déjà il y a 35 ans, au moment des chocs pétroliers qui nous ont sortit du plein emploi…
Depuis, on a rajouté en France environ un million de chômeurs (officiels) par décennie et la tendance n'est pas prête de s'arrêter; notre économie tirant une compétitivité malsaine sur le chômage de mаssе et son corollaire sur des salaires et l'inflation faibles.
Tu as donc une génération de retard sur l'analyse; décalage qui s'explique sans doute en partie par ta région qui n'est pas la France…
Oui, je suis d'accord avec toi: Une population qui trime sans perspective d'améliorer ses conditions de vie se fait juste Ьаіsег.
Une population corvéable au détriment de ses attaches familiales, amicales, se laisse juste enfermer dans une situation de plus grande vulnérabilité dans la société.
Le progrès, quel qu'il soit, si sa finalité n'est pas de donner un peu de bonheur aux gens, est nul et non avenu.
Le truc où j'ai plus de mal à te suivre, c'est que le travail est un élément fondamental, au même titre que la famille, par exemple, pour le développement personnel.
On peut d'ailleurs remplacer "travail" par "activité", pour élargir le truc à quelque chose de plus complet et moins lié à la subsistance.
Ce n'est pas le fait de bosser qui pose problème; c'est même plutôt un problème de ne pas bosser.
C'est de savoir pour quoi, dans quelles conditions, avec quelles satisfactions à le faire, qu'est la question centrale.
Non, on est pas sur terre pour en chier au taff mais pour, entre autres choses, bosser en y retirant de la joie de vivre, un sentiment d'utilité, des choses à apprendre et à transmettre.