Le macho, le sourire étoilé à ses dents,
Roule au gré de ses muscles le safran, la muscade,
Les épices orientales ; dans son cœur, il s'attarde
Les courages d'ailleurs, les longs cheminements,
Les langues en visite, et les traits confondants
Des amitiés uniques, tempérées d'embrassade ;
Les lointains se glissent en sa fibre, et il se darde
En lui les vents cartographiant ses dedans !
Il habite un espace lactescent et multiple
Coloré de son sрегmе, et sa rigidité
Ne se prête jamais à un salut flexible ;
Des Indes il est hanté, et sa dure fierté
Est dressée comme un axe, telle un sехe de mâle ;
Le chemin est étrange, et la trace idéale !
Clicli-un-max-007 !
aux lecteurs et aux lectrices !