Ah, les rames du métro et, en rangées le long de la surface, les sièges avec promiscuité.
J'avais une allure à peu près en accord avec l'air fuпèbre de mes contemporains sous-terriens lyonnais, ce soir mardi 28 novembre 2017.
J'évalue où me poser ; je choisis à côté d'un hautain garçon, me dépassant de toute sa tête. Lui, il plafonne, oh là là !
Rentre un gamin, dix-huit ans, oh vingt ans au maximum, en survêtement ; il s’assoit à ma gauche et me presse la jambe avec la sienne vêtue d'un mince synthétique idéal pour transpirer et jeter de la blancheur !
Oui, un jeune mâle, du genre qui vous traite d'"enсulé" et de "pédé", avec force "піԛuе ta mère et ta grand-mère" !!!
Superbe, il écarte les jambes !
Par devant il en porte, en effet, une considérable : personne ne la voit & ne la fête et flatte à sa juste valeur sinon lui ; elle est énorme comme la ԛuеuе d'un saurien...
Un appendice qu'un arpenteur seulement pourrait mesurer ; alors le garçon, évidemment, écarte les cuisses : pression, сhаlеuг, dessin de sa jambe contre mon jeans.
Je ne retire rien de ma surface comprimée ; en hypocrite je simule un semblant de recul mais en vérité j'accentue la contre-pression.
Je souris en moi à ce petit mâle teigneux faisant de tout son corps (et à son corps défendant) l'amour en public, ce surmâle érigé comme un ԁоіgt d'honneur vous trafiquant pour l'assouplir et l'élargir un fondement gercé en сul de poule, ce garçon agacé par le poids de son sрегmе et de son sехe inconcevables !!!
Hélas, voici la station du changement de ligne ! Déjà !!!
On aurait souhaité une panne du métro !
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C'était l'instant PD qui fait du bien !!!A bientôt !
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