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L'origami de chair... (page 5) - Littérature & poésie

Sujet de discussion : L'origami de chair...
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 30 septembre 2015 à 20:37
    Nan mais tes lectures, amatrice de poésie, ne doivent pas être terribles :)
  • ice.ko Membre pionnier
    ice.ko
    • 30 septembre 2015 à 20:39
    MOUARF MOUARF MOUARF........ bien sûr bien sûr !
    promis maman je ne lis que la bibliothéque rose ^^

    et j'écris des contes de fées ^^


    je peux pas mettre un extrait je vais me faire sortir direct !
  • slim57 Membre élite
    slim57
    • 1 octobre 2015 à 18:33
    Hé ben ! tout ça pour un poeme ! dure la poésie !
  • naiades Membre élite
    naiades
    • 27 février 2016 à 12:41
    En réponse au message de adrenalinea :

    Les enveloppes timbrées se débattent charnelles
    Corps de papier dont l’âme affranchie vagabonde
    A l’orée du songe où le sans-adresse abonde
    A l’abri du mensonge, via clarté des prunelles

    Le miroir a bon tain et l’orgueil est en vain
    A l’abri du besoin de voler les corps beaux
    D’attirer les pigeons, d’imiter les crapauds
    Couvrant leurs pustules d’un drap blanc Séraphin

    Où l’argent n’a pas cours, un billet sans retour
    Et l’on court hors du temps dans l’espace océan
    On marche sur la lune, sur la tête céans
    D’autres marchent sur l’eau évitant les détours

    Quel est donc cet humain assoiffé de pouvoir
    D’emprise sur prochain lui promettant la guerre
    Au regard assassin, si tranchant et rasoir
    Coupant court à l’amour absolu nécessaire

    Fabio

    Je rattrape mon retard doucement !
  • callisto7 Membre élite
    callisto7
    • 27 février 2016 à 22:03
    En réponse au message de slim57 :

    Hé ben ! tout ça pour un poeme ! dure la poésie !

    Toute cette conversation qui aura suivie, pour ma part, je l'ai trouvé vachement poétique !
  • adrenalinea Membre élite
    adrenalinea
    • 28 février 2016 à 21:24
    En réponse au message de kyrja :

    En réponse au message de adrenalinea :

    Les enveloppes timbrées se débattent charnelles
    Corps de papier dont l’âme affranchie vagabonde
    A l’orée du songe où le sans-adresse abonde
    A l’abri du mensonge, via clarté des prunelles

    Le miroir a bon tain et l’orgueil est en vain
    A l’abri du besoin de voler les corps beaux
    D’attirer les pigeons, d’imiter les crapauds
    Couvrant leurs pustules d’un drap blanc Séraphin

    Où l’argent n’a pas cours, un billet sans retour
    Et l’on court hors du temps dans l’espace océan
    On marche sur la lune, sur la tête céans
    D’autres marchent sur l’eau évitant les détours

    Quel est donc cet humain assoiffé de pouvoir
    D’emprise sur prochain lui promettant la guerre
    Au regard assassin, si tranchant et rasoir
    Coupant court à l’amour absolu nécessaire

    Fabio

    Je rattrape mon retard doucement !

    Oups je vois à l'instant ton commentaire,

    oui je vois ça, tu as bien avancé, lol

    j'espère t'avoir disons séduite par mes vers


  • adrenalinea Membre élite
    adrenalinea
    • 28 février 2016 à 21:26
    En réponse au message de chive :

    En réponse au message de slim57 :

    Hé ben ! tout ça pour un poeme ! dure la poésie !

    Toute cette conversation qui aura suivie, pour ma part, je l'ai trouvé vachement poétique !

    Du coup j'ai tout relu et ma foi c'est vrai que les coms ne sont pas dépourvus de poésie, mdr!!!
  • naiades Membre élite
    naiades
    • 28 février 2016 à 21:26
    En réponse au message de adrenalinea :

    En réponse au message de kyrja :

    En réponse au message de adrenalinea :

    Les enveloppes timbrées se débattent charnelles
    Corps de papier dont l’âme affranchie vagabonde
    A l’orée du songe où le sans-adresse abonde
    A l’abri du mensonge, via clarté des prunelles

    Le miroir a bon tain et l’orgueil est en vain
    A l’abri du besoin de voler les corps beaux
    D’attirer les pigeons, d’imiter les crapauds
    Couvrant leurs pustules d’un drap blanc Séraphin

    Où l’argent n’a pas cours, un billet sans retour
    Et l’on court hors du temps dans l’espace océan
    On marche sur la lune, sur la tête céans
    D’autres marchent sur l’eau évitant les détours

    Quel est donc cet humain assoiffé de pouvoir
    D’emprise sur prochain lui promettant la guerre
    Au regard assassin, si tranchant et rasoir
    Coupant court à l’amour absolu nécessaire

    Fabio

    Je rattrape mon retard doucement !

    Oups je vois à l'instant ton commentaire,

    oui je vois ça, tu as bien avancé, lol

    j'espère t'avoir disons séduite par mes vers



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