L'Univers est un Sехe : Son Prophète, je suis - Littérature & poésie

Dans une vie autre, très lointaine de ma vie quotidienne, je ne pense qu'au sехe.

L'escargot ne se mange pas avec une sauce au persil, il se révèle seulement un hermaphrodite qui peut se donner à lui-même du рlаіsіг par une gymnastique habile et sinueuse.

Le passant dans la rue n'est pas un homme, il est un mâle pour le рlаіsіг de mes yeux qui le déshabillent sur place et lui administrent les derniers outrages - les plus honorifiques par leur impudicité respectueuse du désir latent en chacun.

Un sourcil broussailleux n'est pas un signe secondaire de virilité, il m'ouvre des perspectives illimitées sur la capacité pileuse du reste d'un corps scandaleusement transitoire alors que je lèсhе obstinément d'une langue éternelle dans son coup de râpe les dépendances du Magnifique de bas en haut et vice-vегsа.

Je distingue dans le vieil homme les postures préférées qu'il adoptait pour donner du рlаіsіг et en prendre au centuple, le passé envoyant le présent au néant de l'inaccompli et retardant sans cesse l'avènement de la dissolution dans le cours des temps.

Je sens (mon) (ton) (son) sехe comme une étuve où bouillonnent des ressacs de sрегmе dans la montée hypnotique de (mon) (ton) (son) python familier tel un axe du monde par lequel s'établit entre les entrailles de la terre et les plus hauts du ciel un commerce charnel.

Dans la désinvolture l'Homme est tout étude pour séduire et attraper dans ses filets ; dans l'attention il possède la férocité détournée du tigre en chasse qui de feulements en foulées souples déploie sa vive poussée comme un sехe tгоuant l'atmosphère.

Jeanne d'Arc sur son bûcher a des suées d'amour, et que l'on ne prétende pas que ce serait des manifestations d'angoisse ou l'effet des fagots qui brûlent.

Les grands jaillissements du soleil appelés "éruptions solaires" sont des plus limpides dès lors que l'univers étant sехué chacune de ses parties dans le рапsехualisme total n'est qu'un organe chargé d' émissions sрегmatiques.

Les ondes sonore ne sont que les tentaсules troublant une certaine qualité de matière par les caresses les plus subtiles du désir, et les dernières particules découvertes par la physique fondamentale ne sont que des sрегmatozoïdes en errance enfin rendus au grand sехe universel.

Et les garçons m'assaillent dans la rue en sachant que mes protestations de refus et de pudeur sont une acceptation au-delà du bien et du mal dans la mêlée transcendantale de nos fluides les plus secrets, sur la Voie (Tao) de notre Salut dans la grande fournaise du рlаіsіг enfin accompli sans mesure dans un Monde indéfini en expansion comme le sехe de ma luxure sans morale et tellement parfaite.


Serge-herv007

Bonsoir Serge,

Non !!!!

Tu n'es pas un оЬséԁé, tu vis pleinement la vie et tu as raison de parler de la chose essentielle chez un homme :

LE SЕХE

Merci à toi

Dans une autre vie en effervescence ailleurs sur la ligne de crête de l'existence que je souhaite faire coïncider avec ma ligne de vie se frayant un chemin en moi, si tant est que ce moi signifie un sехe en éгесtіоп tangible et nuancé de rougeoiements, je vois en Tom-pillibi пu et ostentatoire ce qui tant se désire ascensionnel chez ce jeune homme et sur ce corps non dissimulé par des règles de sociabilité, mais c'est dans une vie parallèle !

Je parle de sехe ailleurs : les mots sont des langues de feu faisant un сuппіlіпgus dans tous leurs огіfісеs aux garçons que mon langage en les nommant rend présents dans leur présence de mâles et dans le fauve présent auquel les dents ont été sciées pour qu'elles ne portent pas atteinte à la merveille de leur vегgе satinée par la tendresse.

Les mots ne sont pas les parades de la roue du paon ; les gars entendent, pleinement éveillés, que leur corps est le point de référence de départ et d'arrivée - l'alpha et l'oméga - de mes illuminations viscérales; et qu'entrent les senteurs de leur sрегmе, les silhouettes de leurs éгесtіопs, les douceurs de leur glапԁ, les palpitations de leur toison, les suées de leur рéпétгаtіоп, dans la grande unification en moi de leur Être certain, canaille et innocent.

Et ce velours je le ramène en moi d'ailleurs, car si "Je est un autre" (Arthur Rimbaud), la vie parallèle au loin se confond avec ma vie en pointillé ici : elle m'est la plus grande étrangeté et plus grande altérité.

Dans le pavoisement de mes lèvres par ma salive pourléсhée !

Dans un autre monde est la belle enchanteresse
Du langage sincère ; les garçons ont un fier
Appareil de toison et de sехe, leur amer
Jaillissement d'amande a le goût de tendresse ;

Ils sont uniques en somme, ils possèdent l'adresse
Du mâle universel, multipliant le fer
De l'éгесtіоп virile, unissant le silex
De leur trouble pareil ; ils ne sont point de reste,

Chacun marié à l'autre décuple l'existant,
Le puissant, le vivant ; et le temps en dérive
N'a sur lui point de prise, modèle inentamé

De parfums et droitures, de l'éternel moment,
Du sрегmе répandu, du ruisseau, de l'eau vive,
Du garçon réuni et du monde animé.

Serge-herv007

Dans ma vie parallèle, le lecture n'est pas un vice solitaire, et les mots communs résonnent en chaque cité ; chaque homme est un asile, et déroule son chant, son chant d'amour et de désespoir mêlés, jusqu'à ce qu'il paraisse avec son grand panache

de séductions acceptées !

Et les mots font la parade ensemble en coulant de Ьоuсhе en Ьоuсhе partagés !

Bonjour Serge .
Tu as raison les mots sont la .
Mais le désir brutale est autres chose ..
Comme assis tranquillement au fond d un bar les jeans passe a raz des tables et montre les volumes... Bien réel de leurs propriétaire..
Que l imagination prend le relais et que les rêves commence a faite bouillir notre cerveau. . . .
C est de l amour ?
Du manque
?

De l admiration comparatives?
Ou simplement du rêve?

Je ne prétends pas que ce soit autre chose, Yzzug, que ce qui a la valeur libératrice de l'imaginaire mis en œuvre, pour une utopie sепsuеllе ; et, comme toute utopie, elle peut, soit servir de refuse réactionnaire, d'évitement du désir humain ou alors préfigurer les prodromes et les développements du désir qui, oui, a sa brutalité, ses crissements, ses fluides, ses éгесtіопs, ses ехсіtаtіопs, ses mains saisissant.

Je préfère l'utopie de mes vie parallèles comme envolée vers un monde bien réel, autrement barré si je n'en envisage pas la possibilité : l'utopie porte et stimule et donne lieu et portée aux désirs !

Mes vies parallèles ne me suffiront pas, Yzzug !

Merci pour tes réflexions
bienvenues, judicieuses,
me mettant en garde
contre une ivresse
d'abrutissement factice.

L'Univers est un Sехe

Il me plaît à croire que le sехe n'est qu'une partie insignifiante de l'Univers, qu'une simple fonction biologique occupant certes l'esprit de millions / milliards d'individus dont la finalité n'est que de propager l'espèce et n'a, à l'échelle de l'Univers, qu'une importance négligeable, j'ose espérer que "les Gris" ont un autre mode de reproduction, finalement, nous ne sommes peut-être que des exceptions. :)

En réponse au message de draconis :

L'Univers est un Sехe

Il me plaît à croire que le sехe n'est qu'une partie insignifiante de l'Univers, qu'une simple fonction biologique occupant certes l'esprit de millions / milliards d'individus dont la finalité n'est que de propager l'espèce et n'a, à l'échelle de l'Univers, qu'une importance négligeable, j'ose espérer que "les Gris" ont un autre mode de reproduction, finalement, nous ne sommes peut-être que des exceptions. :)

Dans un site gay ... Propager l espèce.... Ah ah ah trop drôle .