En réponse au message de corypheus :
C'est immonde, ce n'est pas rédigé EXCLUSIVEMENT en français ou en anglais, les autres langues étant des sous-dialectes primitifs, on peut s'attendre à mieux ! Je boycotte !
Je retrouve là l'esprit primitif d'un affidé de l'anglo-saxon primitif des marchés financiers et de toux ceux qui pensent (mais pensent-ils ?) "gouvernance du monde".
Ceci est tellement grotesque, contraire à la diversité humaine existante, à la multiplicité des langues parlées qui n'empêche pas l'universalité culturelle (la meilleure, celle qui s'enracine quelque part, et curieuse du monde, s'enquiert de tout) que j'en ris à gorge déployée.
Le chinois, le portugais, le swahili, l'arabe (ce sont des exemple) sont de ces langues de grande expansion culturelle et en nombres de locuteurs qui font du monolinguisme anglo-saxon une grossièreté et un attentat contre l'intelligence.
Je me rappelle de ces occitanophones que la centralisation française a interdit de leur langue : ceci sur des dizaines d'années a eu des conséquences redoutables sur la simple expression et compréhension du monde ; et je sais, de source sûre, que les scientifiques, obligés de publier en anglais, ont avantage à penser dans leur langue maternelle, tant l'expression directe en anglais enlève de l'agilité à la pensée, et en un deuxième temps, de traduire.
Bref, Corypheus aura compris que son énoncé catégorique est caricatural comme toutes ses affirmations contondantes, qui nous tombent dessus comme les oiseaux de proie, toutes griffes dehors. Olé !!!
-------- La critique d'Yzzug est très sensée, car - effectivement - c'est un site d'amoureux des revues, quand même classées selon les dix grandes classes de la Classification Décimale Dewey.
Oui, Yzzug, il faut prendre le temps de lire, de flâner, de partir à la découverte ; en vérité, je ne voix guère d'autre moyen pour aller de la rencontre de ressources que l'on ignore ; mais c'est le point de vue de quelqu'un qui est prêt à passer deux ou trois heures pour la catégorie "philosophie" par exemple, en subodorant que mes trouvailles seront à la mesure de ce temps, non point perdu, mais gagné à entrevoir des richesses que je ne soupçonne même pas.