Attendons lundi soir.
La France veut la vérité, mais toute vérité n'est pas bonne à dire surtout en pleine confusion et contradictions.
Et comme le disait Pirandello : "à chacun sa vérité".
Il est quand même grand temps, après presque 4 semaines de confinement, d'incompétence, d'indécisions et de tergiversations, de penser aux vivants et d'enfin protéger notre corps médical dans son ensemble, et notre population toujours en manque cruel de masques.