En réponse au message de serge-herv007 :
Je ne sais plus comment s'appelait l'impératrice qui passait pour éclairée aux yeux de Denis Diderot, mais ça va - entretemps - me revenir !
Alors, là, je vous arrête (Aretha Franklin ???), mais il y a fondamentalement - je sais c'est gros, lourd, ça impressionne, comme les orgues de Staline -, ah, Madame Kalachnikov...euh, non ! et non ! Donc une dissonance intrinsèque entre le sautillement gaillard de la musique et le thème MÉLANCOLIQUE.
Alors, les paroles, soit c'est pour meubler, soit l'auteur y croit et accorde sa musique avec cette tonalité, la seule évocation musicale plausible étant cette espèce de mélopée masculine qui paraît venir des années 1930 des États-Unis d'Amérique.
Pour l'instant, grand écart
entre sautillements gymпіԛuеs
et accablements de la mélancolie !!!
Que suivre ??? Et que croire du tout de cette chanson ?
--- Ah, la grande Catherine,
nous y voilà !!! !
Va voir ailleurs si s' y suis! !Sinon ,je te t'envoie la "Madelon " que dise plutôt la "Grosse Bertha "