Voici l'adresse internet du site de l'Association des Amies et Amis de la Commune de Paris, 1871.
http://www.commune1871.org/-------------------------------------------------------------------
En prise avec l'actualité : "Macron héritier des Vегsаillais"
Dans le documentaire publié lundi soir sur France 3 [le 10 Mai 2018], Emmanuel Macron évoque sa réception de Vladimir Poutine à Versailles. Propension monarchique, lui suggère-t-on ? En aucun cas, répond-il : « Versailles, c’est là où la République s’était retranchée quand elle était menacée ».
Réponse sidérante… Le seul événement qui correspond à l’affirmation présidentielle a lieu le 18 mars 1871. Au petit matin, des troupes régulières dépêchées par le gouvernement d’Adolphe Thiers cherchent à s’emparer des canons de la Garde nationale parisienne regroupés sur la Ьutte Montmartre. Alertés, les Parisiens s’assemblent pour les empêcher de le faire. La troupe fraternise avec la foule. C’est le début de la Commune de Paris. Le même jour, à 15 heures, le gouvernement décide de quitter Paris, avec toutes les forces armées et les fonctionnaires. Le lieu de repli est Versailles. Le 2 avril, l’armée de Versailles lance l’offensive sur Paris. Du 21 au 28 mai, elle se livre au massacre des insurgés parisiens. Plusieurs milliers y perdent la vie lors de la « Semaine sanglante ». [......]
La suite avec le lien асtіf, ci-dessous !
http://www.commune1871.org/?Macron-heritier-des-VегsаillaisEt cela démontre, Macron démontre qu'évoquer de telle
ou telle manière l'histoire n'est pas neutre du tout :
notre Bonaparte contemporain se place du côté des massacreurs
Vегsаillais contre les Communards de Paris, qui luttaient
contre l’Empire prussien réactionnaire et contre l'Ordre ancien français.
Comme l'habitude allait nous le montrer, la bourgeoisie française faisait
ses combinaisons avec le commandement du prétendu ennemi héréditaire
contre son ennemi de classe, le principal, la classe ouvrière !
L'histoire EST toujours au présent, toujours ; c'est un enjeu,
notamment que des pans entiers de l'histoire ne soient pas
passés sous silence au profit des bergeries de Marie-Antoinette !