La minute holala (page 4) - Musique & cinéma

En réponse au message de sweetheart :

Des noms !
Des noms !
^_^

Ton sourire, ta barbe naissante, ton air illuminé, tes pensées sous-jacentes, ton inconscient rôdeur, ta morphologie crânienne te désignent pour ce harem, comme ton esprit rebondissant, ta persistance ici, et ton amabilité, ..., mais autant causer à des sourdingues !

En réponse au message de sweetheart :

C'est vrai que sur les abribus, il y a parfois des images publicitaires de... mâles ^^

Ouais, et puis y a de la marge pour enсuler les abribus,
ça rentre comme dans l'intestin culier d'un dinosaure mâle !






Elle, elle me saisit ! Barbara !

Je rougeoie de confusion devant de si jolis mots émanant d'un homme de lettres.
Merci Climax !

Pour mon air illuminé, ça va bien aller avec les éclairages de décembre ^^

En réponse au message de sweetheart :

Je rougeoie de confusion devant de si jolis mots émanant d'un homme de lettres.
Merci Climax !

Pour mon air illuminé, ça va bien aller avec les éclairages de décembre ^^

N'attends pas décembre, malheureux !...

Si tu savais ce que "l'homme de lettres" souhaiterait infliger de douceurs sur des chevalets faits en forme de lettres

et lui exposant des hommes пus attachés et démunis de toute défense,

nous entrerions chez un Sade sans cruauté,

de saveurs mâles, de sueurs odoriférantes, de poils qui font des bigoudis à l'air surchauffé,

de jambes arqués comme des arcs-en-ciel, de halètements ргоfопԁs donnant leur juste mesure aux ventres,

de sехes en tourbillons offrant leurs raideurs сhаuԁеs à des Ьоuсhеs à peine posées comme des papillons,

et d'éjасulations à peine élancées, toujours recommencées, ...., ...., ....



Là, je frissonne & me contiens !

Houlala ça m'a un peu donner le mal de mer ce clip

Dans la même veine maritime, de navire, un fado, que je découvre grâce à toi, Sébastien !


Musique : Alain Oulman ; texte : Cecília Meireles !

Bonsoir Serge,

Le son qui se chaloupe au rythme des vagues est, en ce dimanche soir, bienheureux...

Il ne s'encombre pas des bruits alentours, de petites tentatives de récupération sous couvert de protection.

En écho de ce qui se passe au delà de mon topic, sur un autre rivage.

Tu es un homme de lettres, sans m'impressionner, je te respecte, mon ami.

Sébastien qui est de ton coté face à l'obscur chevalier blanc.

En réponse au message de pegase49 :

Bonsoir Serge,

Le son qui se chaloupe au rythme des vagues est, en ce dimanche soir, bienheureux...

Il ne s'encombre pas des bruits alentours, de petites tentatives de récupération sous couvert de protection.

En écho de ce qui se passe au delà de mon topic, sur un autre rivage.

Tu es un homme de lettres, sans m'impressionner, je te respecte, mon ami.

Sébastien qui est de ton coté face à l'obscur chevalier blanc.

Ben oui, quoi, y a pas de quoi s'agenouiller devant les Lettres ; on ne possède jamais les Lettres ; on est toujours apprenti des Lettres. On n'est pas écrivain, mais on écrit ! Et on jette les neuf dixièmes de ce que l'on écrit : tel est mon jugement final sur de mes textes, neuf sur dix à la poubelle !

Et sait-on qu'un roi du Portugal, Dom Dinis" le Laboiureur" (ça vaut mieux que "le Massacreur") a été considérable - aussi - parce qu'il a écrit des "chansons", comme un obscur tгоubadour ? Oui, au détour du treizième e du quatorzième siècles !

Dom Dinis savait le rythme de la langue portugaise ; il allait à la ligne, il daignait le faire pour être compris, il usait des signes ponctuant un texte - du peu de signes alors normalisés pour marquer des pauses ! Bref, il formait des phrases ! Et il s'exerçait !

Voilà ce qui importe, Sébastien, le рlаіsіг de la langue ; les semaines sont lourdes et les frelons insipides au regard des enjeux de la vie !



"Je meurs, sachez-le bien, car je n'ai jamais osé vous parler... Et cela a créé en moi une grande crainte par rapport à vous... Et maintenant, très chère Dame, si vous me tuez, je vous en remercierai... car je sais bien qu'il me reste peu de temps à vivre... Si vous voulez m'administrer la mort, Madame... Faites-le !" (traduction à l'arrachée !)


Alors, ça n'a pas la voix fluette des stars nouvelles à la pelle, mais c'est du galaïco-portugais, d'il y a sept siècles, et ça se chante encore !

En réponse au message de sweetheart :

Je rougeoie de confusion devant de si jolis mots émanant d'un homme de lettres.
Merci Climax !

Pour mon air illuminé, ça va bien aller avec les éclairages de décembre ^^

Défense d'enguirlander SweetTheArt... électriquement, c'est déjà fait