Très belle interprétation pour maison de.retraite... Un peu de.religieux dans le visuel... De voie haute... Bien mieux audible par les malle entendent... Bof ... Bof ... Bof ... Je suis pas presse de percevoir mon déhenbulateur .
Bonjour yzzug,
Il y à, dans le visuel, un peu de religieux car il s'agit justement d'une prière chantée.
Laudate Dоmіnum ( Louez Dieu)
Bonne journée
Merci pour la précision.. J avais pas capter . Bon alors ... Je suis pas.pressé de la rencontré le gus en question ... De toute façon il voudra pas de moi ah ah ah .
Mais si, tu connais la chanson:
On ira tous au paradis, tralala
pegase49
Légende urbaine
21 septembre 2015 à 12:46
En réponse au message de lessismore :
C'est scandaleux Pegasus! Tu ne peins même pas toi même tes illustrations
Je reconnais mes torts et me repens, Lessismore...
Bouh, j'ai honte!!!
Ton châtiment sera mien.
pegase49
Légende urbaine
21 septembre 2015 à 12:48
En réponse au message de ji13 :
Moi qui connait rien on musique je trouve sa superbe
Bonjour jiji,
Je suis heureux de partager avec toi ces trésors.
boumvoyageur
Membre suprême
22 septembre 2015 à 00:15
"Morphée
Il est tard et c’est l’heure où les gens raisonnables S’accordent un doux répit en ce monde agité – Convolent en justes noces dans le songe épais Autant l’innocent que le perfide coupable.
Mais moi je reste tout proche de ma chandelle Comme du feu rédempteur au fond de la nuit. Je demeure fasciné par ce coeur qui luit Semblable à l’insecte qui se brûle les ailes.
Dormir ? Et pourquoi donc ! Mon rêve est un carnet Sur lequel s’échine une plume vagabonde ; Ivre de bondir sur de sinistres rotondes, Elle repose parfois sur les bords du Léthé.
Vif, c’est seulement à la faveur du matin Qu’un rayon délicat du Phoebus andrinople Viendra déchirer la pure aurore sinople Et souffler en mes narines son doux parfum.
Morphée – je t’attends comme on pleure sa jeunesse, Aussi les vêpres du soir ou la frondaison ; S’il te plaît, pose ta main tгапsie sur mon front Et soulage ma fièvre ô ma douce princesse."
Didier Sicchia, La rhétorique de l’ineffable, 2010
pegase49
Légende urbaine
22 septembre 2015 à 00:23
En réponse au message de boumvoyageur :
"Morphée
Il est tard et c’est l’heure où les gens raisonnables S’accordent un doux répit en ce monde agité – Convolent en justes noces dans le songe épais Autant l’innocent que le perfide coupable.
Mais moi je reste tout proche de ma chandelle Comme du feu rédempteur au fond de la nuit. Je demeure fasciné par ce coeur qui luit Semblable à l’insecte qui se brûle les ailes.
Dormir ? Et pourquoi donc ! Mon rêve est un carnet Sur lequel s’échine une plume vagabonde ; Ivre de bondir sur de sinistres rotondes, Elle repose parfois sur les bords du Léthé.
Vif, c’est seulement à la faveur du matin Qu’un rayon délicat du Phoebus andrinople Viendra déchirer la pure aurore sinople Et souffler en mes narines son doux parfum.
Morphée – je t’attends comme on pleure sa jeunesse, Aussi les vêpres du soir ou la frondaison ; S’il te plaît, pose ta main tгапsie sur mon front Et soulage ma fièvre ô ma douce princesse."
Didier Sicchia, La rhétorique de l’ineffable, 2010
C'est magnifique mon Boum,
Que cette chandelle brille de sa douce flamme lumineuse, confidente de nos rêves іпtіmеs.